17 décembre 2010

C'est la saison des châtaignes en Ukraine

Comme en Ukraine, on aimerait que le parlement Français suive cet exemple salutaire avec l'affaire Woerth.


Copié-collé du figaro

Cinq députés de l'opposition ont été hospitalisés jeudi soir. Ils refusaient de quitter l'enceinte du Parlement, pour dénoncer l'ouverture d'une enquête criminelle contre l'ancienne premier ministre, Ioulia Timochenko.

Une rixe a éclaté jeudi soir au Parlement ukrainien, expédiant à l'hôpital cinq députés de l'opposition. Ces élus du BYuT, le parti de l'ex-premier ministre Ioulia Timochenko, refusaient de quitter l'enceinte du Parlement en guise de protestation contre les ennuis judiciaires de leur chef de file, contre laquelle une enquête criminelle a été ouverte.

Des députés du Parti des régions, du président Viktor Ianoukovitch, sont alors intervenus pour faire place nette, a rapporté l'agence de presse UNIAN. «Nous devons nous assurer que le parlement pourra fonctionner normalement demain matin», a expliqué l'un d'entre eux. Selon Volodymyr Bondarenko, élu de l'opposition, cinq de ses collègues ont dû hospitalisés en ambulance.

Ioulia Timochenko, égérie de la «révolution orange» battue de justesse à la présidentielle de février, est soupçonnée par la justice de son pays, dans le cadre d'une enquête judiciaire pour la mauvaise utilisation de près de 300 millions de dollars reçus par Kiev en échange de la vente de ses quotas d'émission de CO2, à l'époque où elle dirigeait le gouvernement. Les fonds auraient été utilisés par le gouvernement pour combler les besoins du système de retraites. Assignée à résidence mercredi, elle rejette ces allégations. En cas d'inculpation, elle encourt de sept à dix ans de prison.

2 commentaires:

  1. J'vois bien Maxime Gremetz le mordre au mollet le Woerth.

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  2. Combien vous donneriez ? Et si on proposait au vieux Max de remonter de quelques centimètres ? Ca vous irait ?

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