27 août 2008

Un scoop dévastateur



Depuis déjà quelque temps, le CGB vous a habitué aux scoops de premier choix, là où les torchons officiels et les sites web d’informations soi-disant indépendants échouent à merveille. Poursuivant cette logique, un jour où l’autre, on nous considérera comme des incontournables de la toile. L’interview proposée aujourd’hui, qui restera gravé dans les annales du vrai journalisme d’investigation, est un raz de marée, une apocalypse nucléaire, une dévastation totale. J’ai hésité à la publier, allant même planquer mon papelard dans un coffre sécurisé d’une banque privée prestigieuse d’un quartier de la haute bourgeoisie parisienne (en territoire ennemi et ça m’a couté bonbon). Ces derniers jours, des yeux ont poussé derrière ma tête à l’affut de tout danger potentiel. D’habitude, j’évite ce genre de contexte et de sa pression résultante. Au fil de l’entretien, et peut-être dès le début, vous reconnaitrez la personnalité jusqu'à pulvériser le moindre doute sur son identité. J’en suis persuadé. Cela dit, je passerai sous silence son nom pour rester inattaquable par les voies judiciaires. Quant au reste, j’en cours le risque… je savais à quoi m’en tenir lorsque je suis devenu de la crème cégébienne. Le CGB possède des agents insoupçonnables infiltrés dans tous les réseaux de pouvoirs souterrains. Notre œil scrutateur fixe les arcanes occultes de la politique, de la finance et des médias. La semaine dernière, un de mes contacts m’a proposé une rencontre « qui ne se refuse pas » avec « Témoin X », dont l’identité m’a estomaqué sur le moment. La taupe m’a exposé brièvement la nature des révélations qui seront évoquées. Depuis, des nuits blanches ont peuplé mes journées, excité par cette occasion en or rarissime.
Voici le compte-rendu littéral de ce moment fracassant, ainsi bien sûr que l’interview.

Nous avons rendez-vous dans un hôtel miteux de Malakoff à la périphérie proche de Paris dans la banlieue sud. Au téléphone, Témoin X m’avait expliqué que la récente DCRI (direction centrale de la sécurité intérieure) surveille tous les établissements luxueux. Je suis arrivé une demi-heure à l’avance pour bien repérer les lieux en cas de complication imprévue. La chambre pue la moisissure. La blanchisseuse est une salope à qui je ferai bouffer les draps dégueulasses en forçant à coup de tatane. Le mobilier vétuste se compose d’un lit, d’une table de chevet, d’une petite table et de deux chaises, et d’une armoire. Même pas un téléphone.
Je prépare le matos de pointe : un calepin, un crayon à papier, une gomme, un rouleau de ruban adhésif, un enregistreur vocal et un Beretta neuf millimètres. Elle m’avait ordonné de proscrire tout système d’enregistrement quelconque. Je prends le flingue, enlève le cran de sureté et le scotche avec son holster sous la vieille table mitée et crasseuse, le canon pointé vers la porte. Je plaque le mouchard numérique à côté du calibre et le fixe à son tour. Vite… j’astique les meubles à l’aide de plusieurs kleenex trempé avant d’accueillir mon hôte, habitué à un autre style de convenances.
TOC, TOC… toc… toc… TOC.
Le code convenu ! J'enclenche le bouton record du mouchard, puis j’attrape ma flasque de bourbon et m’en envoie une franche rasade dans le gosier pour redoubler de courage. Je file vers la lourde, prends une profonde inspiration, puis l’ouvre avec une discrétion assurée.
Témoin X se faufile à l’intérieur avec la furtivité d’un adepte du ninjutsu. Elle porte tout l’attirail des célébrités féminines qui veulent passer incognito dans une foule : lunette noire, un fichu sur la tête, grand châle usé et enroulé autour du cou, et fringues sobres aux couleurs lugubres. Elle a l’air apeurée comme un fugitif en cavale, avec à ses trousses toutes les puissances de sécurité de la nation, des forces spéciales ultra-secrètes de l’armée jusqu’au garde champêtre. Je la rassure en lui posant une main sur l’épaule.
— NE ME TOUCHEZ PAS ! m’aboie-t-elle d’une voix tonnante et impérieuse, tout en éjectant ma patte d’un geste virulent.
— Excusez-moi. Je n’aurai pas dû.
— J’aimerais que ça dure le plus rapidement possible. Je voudrais éviter que quelqu’un s’aperçoive de mon absence.
— Très bien, alors commençons sans perdre une minute. Asseyez-vous, je vous en prie.
Elle se calme enfin et se met sur son séant. Je vois à sa moue que sa chaise lui provoque un inconfort éprouvant. Elle enlève son camouflage devenu pour l’instant superflu. Je la trouve aussi magnifique que sur les photos, ni plus ni moins. On a beau la détester, mais je comprends pourquoi sa beauté a su en faire bander plus d’un. Elle nous l’a souvent prouvée la gourgandine.
— Comme vous le voyez, j’utiliserai que le matériel ici sur la table. Rien d’autre, mentis-je effrontément.
— Je vous fais confiance comme à notre ami commun.
— J’avoue qu’une grande stupeur m’a saisi quand il m’a entretenu sur le sujet que nous allons évoquer.
— Je comprends… et croyez bien que j’éprouve de la difficulté à me confier à un inconnu.
— Je n’en doute pas… alors, commençons au plus vite.
— Bien, j’écoute vos questions.
Je saisis le crayon à papier, ouvre le calepin et attaque l’interrogatoire minutieusement préparé.
— J’aimerais d’abord que l’on débute par votre rencontre. Bien sûr, les médias en ont fait leurs choux gras pendant de longues semaines, mais vous savez les sources officielles… de plus, on a eu droit qu’à des détails insignifiants.
— En vérité, tout est faux. Notre rencontre est une fable pour les gogos, et de nos jours ça fourmille, orchestré par nos agences de communications respectives. En fait, à la base, cette entente vise l’objectif d’entretenir la stabilité de l’image traditionnelle de son poste particulier auprès du p… public. L’offre s’avérait alléchante, car j’y trouvais mon compte aussi bien d’un point de vue financier que pour la voie royale de la gloire. Au début, ma réputation en a pâti, mais je m’en moque fichtrement. La plupart des femmes auraient accepté sans se poser de questions. Ensuite, grâce à une propagande récurrente, une majorité du p… public a commencé à s’habituer peu à peu. Je n’en dis pas un peu trop, là ?
— Vous vous doutez bien que les internautes devineront très vite vos identités respectives. L’important est de rester discret sur les noms, les lieux, les dates et les dénominations de fonction professionnelle. D’accord ?
— OK.
— Allez-y continuer.
— Donc, je disais que le public, au bout d’un moment, accepte tout avec un bon bourrage de crâne.
— Au-delà du contrat, est-ce que cette nouvelle situation s’avère bénéfique ? Quels sont les privilèges ? Est-ce parfois oppressant ?
— Il y a une chose de très appréciable… tout devient gratuit. Comme le rêve d’un enfant qui fantasme sur l’idée de se retrouver seul sur cette planète avec tous les biens matériels à son unique et entière disposition. Et puis aussi, les gens vous octroient une déférence et des dithyrambes sans commune mesure. C’est très agréable quand vous êtes narcissique.
Elle remarque mon étonnement que j’ai laissé entrevoir à cause de sa soudaine franchise et de son cynisme.
— Vous croyez quoi ? La motivation première de ce genre de métiers, loin devant l’argent qui vient en second, est d’être considéré par une partie de ses contemporains comme des demi-dieux. Quoi de plus jouissif dans la vie ? C’est aphrodisiaque. Rien que les causes humanitaires, devenues incontournables dans nos milieux, ont pour but le narcissisme. L’humanisme demeure le pinacle d’une image médiatique éblouissante. La fée clochette qui vous transforme en « humain admirable » de sa baguette enchantée. Une sorte de grand œuvre alchimique, mais seulement en apparence. Peu de célébrités semblent conscientes de ce fait. La majorité se ment à elle-même, mais derrière tous ses sentiments mielleux trône le flamboyant et majestueux narcissisme.
— Je m’en doutais !
— Ensuite, votre vision de la chose compte. Si vous êtes sur le mode : bien ou mal ? Vous vous trompez de question. La juste interrogation est : bon ou mauvais pour soi ? Ça évite ou nettoie la culpabilité.
— Un point de vue intéressant… mais le narcissisme laisse aussi des dégâts psychologiques effroyables lorsque les gratifications s’évanouissent. C’est à double tranchant.
— Certainement, mais on lui résiste à grand-peine. Mais là, on s’éloigne du sujet… pour les côtés désagréables, on est contraint de contrôler en permanence son comportement et la moindre de ses paroles. Le pire reste le voyage protocolaire à l’étranger qui vient en prime se greffer à cette attention stressante. C’est épuisant. Seuls des as de la communication réussissent leurs prestations à coup sûr.
— Vous vous en sortez plutôt bien jusqu’à présent.
— Merci, vous êtes charmant. J’ai été formé à bonne école.
— Et les paparazzis, les journaux People, les fans ?
— Lorsque vous savez dealer avec eux, tout se passe pour le mieux. Une photo soi-disant volée de temps en temps ravit tout le monde. Le photographe touche, les journaux vendent et toi, tu entretiens ta célébrité, puis tu ramasses ton cash. Derrière, tu portes plainte pour sauver l’honneur et tu gagnes à tous les coups, car c’est prévu ainsi. Les journaux allouent des budgets conséquents rien que pour le judiciaire. Même nos avocats jubilent. Le système est bien huilé. On a parfois de vraies photos volées, mais ce sont de moindres tracas par rapport au bénéfice perçu sur l’ensemble. Pour les fans, certains sont trop engageants, un peu lourds et cassent le trip, mais j’ai toujours échappé au cas du psychotique qui fantasme une appartenance exclusive.
— OK, maintenant, venons-en au vif du sujet. Parlez-moi de lui !
Elle se sent soudain mal à l’aise et perd de sa confiance dans son regard.
— Bien, puisqu’on est là pour ça, me dit-elle un peu pâle, mais faisons vite… je vous en prie.
— Par précaution, appelez-le monsieur N. Ne vous en faites pas, si vous oubliez, je rectifierai à la rédaction de l’article.
— Monsieur N. ? Pourquoi ?
— Juste un kiff !
— OK, donc j’ai rencontré monsieur N. à une réception que donnait monsieur S., comme convenu, début décembre de l’année dernière. Comme je l’ai déjà dit à la presse, ses orientations politiques se situent à l’opposé des miennes, je racontais la vérité. Encore que je me trouve dans l’autre courant principal, plus par tradition de mon milieu de base que par conviction. Mais, en tout cas, nous avons comme point commun la même origine sociale… mi-bourgeoise, mi-aristocratique. Il n’est pas mon genre d’homme, mais je me suis laissé prendre au jeu. Et puis, ce qu’il représente envoute littéralement et sa confiance en lui inébranlable m’a séduite. Ce mélange fascine souvent les femmes. En clair, ce qui était au départ un contrat de bonne entente professionnelle est devenu réalité. Du moins, au début. Ensuite, les jours heureux se sont gâtés assez vite dès qu’on s’est marié le 2 février dernier pour se transformer en cauchemar au fur et à mesure.
— Comment ça s’est passé ?
— Un soir, lors de nos ébats conjugaux, il m’a proposé de jouer à des jeux un peu spéciaux avec lui, dit-elle en fuyant mon regard et en perdant de son éloquence jusqu’ici infaillible. Il me l’a demandé le plus naturellement et le plus tendrement possible, presque suppliant. Comme j’aime la nouveauté et que je suis un peu maso, j’ai acquiescé. Au début, les distractions demeuraient innocentes.
— C'est-à-dire ?
— Ben, des agréments classiques de couples en confiance qui tournent à la pornographie, parfois jusqu’à la salacité. Mais un jour, il s’est énervé, car d’après lui, je n’y mettais plus du mien. Ce qui était vrai, parce que ces séances malsaines, ça va un moment. Il m’a giflé et maitrisé, puis a commencé à nouer une corde autour de mon corps… euh… pour… euh… me bonder !
— Vous voulez faire une pause pour reprendre vos esprits ?
— Non, on a plus le temps. Juste un verre d’eau si vous avez ?
— Je n’ai sur moi que ma flasque de bourbon et je vous déconseille l’eau du robinet de cet hôtel.
— D’accord, mais un tout petit peu.
— Tenez, lui dis-je en lui donnant le remontant.
Elle le vide d’un trait.
— Ça va mieux ?
— Pas vraiment.
— Allez, encore un effort, c’est la dernière ligne droite. Donc les jeux ont tourné aux pratiques SM ? C’est ça ?
— Oui et de plus en plus répugnantes avec le temps. Il a commencé à m’appeler « Lassie, la chienne » et à me faire laper un bol d’eau pendant qu’il m’enfonçait des objets spéciaux dans mes deux orifices pourtant étroits.
— Comme quoi ?
— Les détails ont-ils vraiment de l’importance ?
— Au CGB, nous avons une règle d’or : rien ne doit être caché à nos lecteurs ! Déjà qu’ils ne comprennent pas tout…
— Ben, au début, il m’introduisait de simples godemichets… euh… mais ensuite des objets de plus en plus bizarre et parfois symbolique. D’un saucisson qu’il avait ramené du salon de l’agr… euh… à la pompe de son vélo de course… euh... en s’amusant à l’actionner avec frénésie, en passant par… euh… son bras de mannequin qui lui sert à y déposer toutes ses montres de grands luxes. Un jour, il m’a même introduit dans mon rectum une copie du traité simplifié de Lisbonne roulé en forme de tuyau… sniff… en chantant la chanson de Charles Trenet « Douce France ». J’éviterai de vous raconter ce dont j’ai dû endurer le soir de sa célèbre altercation publique dans une manifestation très populaire. Ainsi que… euh… le refus de la ratification d’un certain traité par un p… public étranger, conclut-elle en se répandant en une longue plainte déchirante.
— Allez, encore juste un petit effort.
Des larmes coulent sur son rimmel et laissent des trainées bleuâtres sur ses joues fardées. Elle ressemble à une petite fille infortunée qu’on a envie de consoler. Je ne la perçois plus comme avant. J’entreprends inconsciemment la tentative d’un geste de tendresse à son endroit, mais me ravise aussitôt.
—… sniff… un jour, il a convoqué son conseil des m… dans nos appartements privés et il m’a offert à ses convives… comment ils disent en banlieue, déjà ?
— Une tournante. Il vous a fait tourner.
—… sniff… voilà, il m’a fait tourner comme une vulgaire banlieusarde… moi, de descendance aristocratique ! Mais le comble de l’horreur se produisit le soir du 14 juillet. Il m’a… sniff… il m’a… sniff… scarifié… sniff… à l’aide d’un stylo à plume de sa collection… sniff… le message suivant…
Elle soulève son chemisier et me dévoile son abdomen torturé d’une inscription au caractère croûteux et sinueux : NUCLEARISER LA RACAILLE.
— On va s’arrêter là, lui dis-je en restant stupéfait devant autant de révélations époustouflantes, bien au-delà du topo pourtant alarmant de mon contact.
— Merci… sniff… c’est un malade…
Je repose mon crayon, mes doigts en compote et la main ankylosée par tout ce travail acharné, mais qui en valait la peine.
— C’est normal. Ne vous inquiétez pas, je vous assure l’anonymat.
— Je m’en fous maintenant. J’ai envie de mourir !
— Ne dites pas ça ! Pourquoi ne divorcez-vous pas ?
— Je ne peux pas. Il sait des choses sur moi que je préfère taire à jamais !
— Ah, bon ?
— Ne comptez pas sur ce scoop là !
— Désolé… un réflexe. Prenez un amant pour le faire chier !
Elle me fixe soudain de ses yeux écarquillés, l’air interloqué. Cette idée ingénieuse commence à germer dans son esprit troublé.
— Mais oui ! La voilà la solution !
Elle me regarde gratifiante.
— Et pourquoi pas vous ? De plus, vous êtes un homme du peuple sans origine sociale digne d’intérêt, ce qui le fera doublement criser !
— Oh là, on se calme !
— Même si physiquement vous ne cassez pas des briques, vous n’êtes pas non plus repoussant. Je vous paierai gracieusement s’il le faut. Et puis, une relation sexuelle saine ne me fera pas de mal… que je retrouve enfin ma dignité, me dit-elle en commençant à déboutonner son chemisier comme si ça allait de soi et que je n’avais pas mon mot à dire.
— Non, s’il vous plait, madame, ne faites pas ça.
L’idée restait toutefois alléchante, mais aussi annonciatrice de réactions en chaine cauchemardesques.
— Si vous le désirez, je vous taille une pipe ! J’en ai besoin, par pitié ! J’ai envie de me glisser à nouveau dans la peau d’une femme normale !
Vous connaissez sans doute le sketch de l’ange et du démon qui trônent au-dessus de chaque épaule et illustrent les bonnes et mauvaises pensées. Et bien, moi, je les ai vus, mais réellement vus.
L’ange me dit :
Ne commets pas ce péché ! Tu ne te le pardonneras jamais et soupèse les conséquences irréversibles de cet acte répréhensible par la morale chrétienne, même si la foi est absente de ton coeur !
À cela, le démon répondit :
On s’en bat la fourche de ton éthique religieuse ! Mais vas-y, mon salaud, ne te fais pas prier. Fais-toi pomper le nœud, mon n’veu ! Imagine un peu, lustré buccalement et goulument par la P… D… de F… ! Le rêve de tous les fils de pute avec une bite en âge de dégoupiller !
— Non, je ne peux pas !
Témoin X, insatisfaite par cette réponse, m’agrippe l’objet convoité par une prise ferme et solide comme si elle pratiquait la varappe.
Repousse-la, repousse-la… ne sombre pas dans ses noirs desseins… le diable la possède ! me dit l’esprit de lumière.
N’écoute pas cet éternel puceau et déchire-la comme le mâle dominant que tu es ! Au stade où elle en est, tu peux même la fourrer là où on prend la température, si tu vois ce que je veux dire ! Tu verras, c’est magique ! Allez, au boulot, mon brave. On ne fait jamais attendre une dame ! me répond le suppôt de l’enfer.
Je me lèche les babines. Qu’est-ce que je fais ? Je fonce ou pas ? Après mure réflexion et après avoir jaugé le pour et le contre, ma décision est prise et irrévocable…

Le lendemain, après avoir rédigé au propre mon article, je file vers la banque déposer ma bombe non conventionnelle.

6 commentaires:

  1. Je suppose que l'enregistreur vocal n'a servi à rien, on n'entend que dalle?

    C'est curieux qu'il l'ai appelé "Lassie" car, comme chacun sait, Lassie est gouine.

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  2. A la la! Les puissants n'ont qu'à bien se tenir avec ce gros pâté de merde qui prend tellement de détours que ça en devient illisible.

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  3. Non, rassures-toi paracelse. Simplement, Jack est jaloux de cette chance qui s'est manifesté à toi, simple homme du peuple.

    A quand le prix Albert-Londres ?

    Clarence, qui aurait bien aimé que tu fasses tourner !

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  4. Non c'est pas nul et puis se taper Roselyne Bachelot pour le CGB ça démontre un courage qui mérite au moins le respect.

    Comment ça j'ai rien compris ?

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