21 octobre 2007

Le journal du MAUSS


Au CGBi, on aime beaucoup le MAUSS (mouvement anti-utilitariste en sciences sociales)laboratoire et cercle de réflexion animé par Alain Caillé qui s'articule autour du fabuleux tryptique donner-recevoir-rendre découvert par le génial Marcel Mauss.

En plus d'une grande revue semestrielle, le MAUSS vient d'éditer un nouveau site internet complémentaire...sorte de journal permanent des activités du MAUSS afin de prolonger le débat sur l'anti-utilitarisme, la décroissance, la critique du progrès.

4 commentaires:

  1. C'est pas qu'un think tank, c'est aussi centré sur un véritable laboratoire, "Travail et mobilité" sur Paris X. Et effectivement moi aussi je suis un enthousiaste de ce qu'ils fabriquent depuis de nombreuses années avec leur revue du MAUSS.

    RépondreSupprimer
  2. Vous avez effectivement raison c'est aussi un Labo!

    RépondreSupprimer
  3. Merci pour la petite pub. Pour info, le MAUSS n'est pas un laboratoire. Il y a des membres du MAUSS ratachés au laboratoire Sophiapol de Nanterre (dont A. Caillé est le co-président avec C. Lazzeri), et quelques liens avec le labo Travail et mobilités. Par contre, le MAUSS (la revue papier et la revue permanente en ligne) peut être considéré comme un laboratoire d'idées au sens large !

    Amicalement,

    Fabien Robertson (Revue du MAUSS permanente)

    RépondreSupprimer
  4. Merci René pour cette info. Les articles du Mauss sont intéressants autant que discutables (c'est justement parce qu'ils sont discutables qu'ils m'intéressent) et les intervenants sont calés.
    L'utopie, je vois ça comme une sorte de marché du samedi matin sur la place du village: y'a plein de bonnes choses, des trucs auxquels tu penses pas, ça t'ouvre l'appétit mais il faut faire un choix, si tu prends tout t'auras quand même pas une recette qui fonctionne, et il faudra en jeter parce ça ne résiste pas au temps.
    Les gens qui cherchent le bonheur pour l'Humanité entière n'ont peut-être pas envisagé que le bonheur, comme la masturbation, est une affaire très privée, intime, à petite échelle. Faut se donner un peu de peine, et ça ne dure qu'un temps.

    RépondreSupprimer