5 mai 2010

Les européens rembourseront les spéculateurs...


7 commentaires:

  1. Ah ah !

    Mais tu oublies de dire que c'est pas les banquiers qui prennent "le risque". Ce sont les contribuables européens.

    La nuance est de taille.

    Et non content de renflouer un état merdique qui vous chie dessus à coups de cocktail molotov, faut aussi vous dire que les intérêts, c'est aux marchés que vous allez les rembourser.

    Oui, décidément, les banquiers vous aiment !

    Vive l'Europe solidaire !

    Clarence, bankster

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  2. Je me disais qu'après les risques financiers on pourrait passer aux risques physiques.
    L'amouuuur du riiiisque...

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  3. "Mais tu oublies de dire que c'est pas les banquiers qui prennent "le risque". Ce sont les contribuables européens."

    Juste une question : pourquoi les états devraient-ils payer pour la destruction des banques? Celles-ci ne cotisent-elles pas déjà à des assurances privées?

    Plus encore, ne sont-elles pas les premières à encourager la destruction de biens marchands (notamment du type bâtiments et armes lorsqu'il s'agit de guerres) et le stress des populations (notamment dans la mesure où les chiffres du chômage sont proportionnels à l'attachement des employés à leur emploi, et à leur investissement temporaire et affectif dans icelui - cf : L'extension du domaine de la lutte, de Houellebecq), tout simplement parce que ces deux moyens sont reconnus comme les plus efficaces pour augmenter la croissance?

    D'ailleurs, les banques (Goldman Sacks pour ne pas la citer) ayant gagné de l'argent avec la crise politico-économique de la Grèce [tout d'abord en l'aidant à cacher ses pertes (via un subterfuge comptable ) et ensuite en pariant contre elle sur les marchés], ne se sont-elle pas, par là-même, déclarées ennemies (concurrentes) des Etats? Dans cette mesure, pourquoi les Etats devraient-ils aider les banques à réparer leurs immeubles? Les Etats et les peuples, selon la plus élémentaire des lois du marché, j'ai nommé la concurrence, ne devraient-ils pas au contraire tenir la dragée haute aux Goldman Sacks, dans une sorte de guerre ouverte?

    En vertu de quel privilège les seuls financiers, tout au contraire des grecs, devraient-ils donc à échapper à la terrible loi libérale qui veut que la destruction des uns profite à l'émergence des autres?

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  4. Comme dirait John Stewart en parlant de Goldman Sacks.
    "These F@#king Guys"


    http://www.thedailyshow.com/watch/mon-april-19-2010/these-f--king-guys---goldman-sachs

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  5. Vous avez oublié: banquiers musulmans, bien sûr, installés à la Mecque-Street de New-York et de Londres, La Citynistan.

    Sébastien

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  6. @ Sébastien : Les nabab saoudiens n'ont absolument rien à apprendre aux Goldmann Sachs et consors... Et si les enturbannés devenaient marxistes, la gloire n'en reviendrait pas au turban.

    Je me comprends.

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  7. Jim, à vrai dire, n'en a rien à battre de tous ces problèmes d'homosexuels patentés; Monsieur Burke aimerait savoir qui est le souverain du CulturalGangBang (et ne me dites pas que ce blog fonctionne à la manière communiste, sans Dieu ni maître -ou je vomis) et pourquoi ce triple idiot ne linke ni vers Conditor Alme Siderum, ni vers mon blog.
    Merci.

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