9 octobre 2009

Brigade mondaine


La machine médiatique n’en finit plus de vomir des affaires de pédophilie. Comme ne manquerait pas de le faire remarquer le gros Lombard, si on lui demandait de commenter le phénomène : « Y’a comme un effet de gode… de mode. » Faites entrer les enculés… les accusés ! Pardon ? Sont au maquillage en loge ?...
En quelques jours, se sont succédés dans nos box médiatiques quelques accusés médiatisés d’un bel acabit : Daniel Cohn-Bendit, Roman Polanski (par personnes interposées) et aujourd’hui Frédéric Mitterrand...


Dany le vert, Dany l’espoir ! s’en est sorti sans même le détour d’une plaidoirie. Ses pairs se sont chargés de corriger l’« ignoble » délateur à ses basques, le timide baryton des Pyrénées : François Bayrou. « Indigne » ont-ils tous crié en chœur. Indigne ? De quoi rendre dignes en retour de flamme sémantique, ces quelques mots d’amour aux enfants, écrits il y a trente ans, par un homme qui travaillait alors dans des maternelles alternatives : « Je les caressais quand même… » Que voulez-vous, c’était une autre époque. C’était les seventies ! Un temps qui n’avait pas encore trouvé les aérofreins du tourb(ou)illon libertaire de la fin des années 60… Un temps ado quoi : pardonnable donc. Un temps où paraît-il la morale se réinitialisait, repartait d’un nouveau pas, un bon, un bon pas cette fois : avec la morale à papa au pas.


"Euh... Vous êtes parent d'élève ?..."


Roman, quant à lui, a vu champignonner les tribunaux de moralité ad hoc, à décharge, d'exception, à coloration humanitaire, dans les mini talks shows pseudo journalistiques dont regorge notre PAF, véritables hyperlessiveuses de cerveaux, têtes de gondoles remplies de bonheur en barquettes… Là encore, ses pairs se sont chargés des basses besognes : un funeste cortège de vedettes concassées au pilon peopolisatoire, VRP d’indignations épileptiques et dépilatoires, monstrueux contorsionnistes de la courbe espace-temps, réussissant à conjuguer en simultané, et sans jamais rougir, leur simulacre de combat moral perpétuel contre toute forme d’injustice, à un narcissisme très peu discret, lorsqu’il se mire dans les écrins de contrôle des plateaux télévisés... « Miroir, miroir, ce séduisant Je de rôle, est-ce bien Moi ? Mon Dieu, je me plais ainsi et me contemple...» Un droitdel’hommisme dégoulinant tous azimuts et à perpétuité, engagé dans une odyssée sans destination : en nos temps de plus-que-présent, on ne peut plus se contredire (Schizo, lève-toi) ; la géométrie dans l’espace est orpheline de tout référentiel… Plus de repères, plus d’hier, de lendemains, plus de valeurs. Tout se perd, tout fout le camp, tout décarre, décanille, s’arrache, se casse. Les mots brisent désormais les jambes plus sûrement que le choc. Friedrich, y s’est gouré parfois...


"13 ans, âge nubile!" (citation d'un chevalier des Zarzélettres)


Frédéric, code-barres médiatique « le neveu de Tonton », lui, n’a pu faire l’économie d’une flagellation allégée (car il n’a « pas même fauté ») en public face aux soupçons de pédophilie, pour cause de portefeuille ministériel. Il a dû y monter au feu, à l’assaut, à découvert sur ce no man’s land où on ne tire que des balles à blanc. Il a dû le gravir l’échafaud chauffé à blanc par les projecteurs de watts par milliers de la Transparence, et dignement ! Quel risque ? On voit tout, on oublie tout de sitôt. La loi du in situ permanent. Et quel plaidoyer pour ce Canada dry de jugement aux portes de ce succédané d’Enfer !… Pathétique. Le « neveu de Tonton », aurait eu une existence « difficile »… Pas de faute, mais faudrait voir à l’excuser quand même, au cas où, comme il le projette, l’homosexualité serait encore un crime de lèche-majesté… La pédérastie est-elle un euphémisme ? Dépend de l'acception ?... Allez au tapin, n'est-ce pas humain ? Comme dans tout prétoire digne de ce nom : on a sorti toute les poubelles, en mode tri sélectif, l’air du temps oblige...


"J'ai payé leurs prestations!"


En bref, le pathos n’est pas là où on avait l’habitude de le trouver : du côté des victimes… Il est de l’autre côté de la vitrine. Peut-être une conséquence du trauma Outreau, dernière grande diabolisation de ce qu’on voulait alors nous présenter comme un nouveau, donc quelque part positif, mais inquiétant tout de même encore par sa nature, phénomène de société… Après les outrances d’Outreau, la pédophilie aurait-elle été déchue de son horribilis ? Outreau a-t-il été l’occasion d’une purge morale du crime pédophile ? Après Outreau, n’avons-nous pas tous été sommés de ranger le goudron et les plumes par ceux-là même qui avaient engoudronné et emplumé les membres supposés de ce réseau de criminels qu’ils avaient fantasmé et voulaient voir avéré ? La pédophilie serait-elle aujourd’hui une affaire de pincettes, de clochettes ?… Prudence est mère de toutes les peines de sûreté…


"Je lui ai pourtant serré la vice..."


Est-ce là une nouvelle expression d’une justice séculaire à deux vitesses : l’une pour le crasseux quidam du quotidien, l’autre pour le champion médiatique pailleté à plume dans le cul du microcosme politiqueutard-cul-turel ? La grande culbute ? La pédophilie serait-elle artistique, quand elle est le fait des miliciens culturels, ces partisans de l’ingérence lacrymale et coercitive, corrosive des vieilles valeurs, ces sénilités grabataires, gâteuses, poussiéreuses, figées, rigidifiées, réfrigérées, contraires au mouvement inhérent à la marche en avant fanfaronne du Progrès ? Le vice deviendrait-il vertu quand on tutoie les sommets marketings mis à l’horizontal d’un progressisme totalitaire, d’un relativisme despotique, à monter en kit et au choix ? Le vice de nos "élites" est mis en scène dans une parodie de justice compréhensive, maternaliste... La Transparence dicterait sa loi ? L'opinion à la mémoire courte est prête à tout pardonner après injection de sa dose de pathos... Justice populaire gadgétisée...


Bambi


Le fait est que notre ministre de la culture, il y a cinq ans, s’est fendu d’un roman mélancolico-guilleret (maniaco-dépressif donc, je suppose, semblable au personnage), dans lequel il aurait vanté les débouchés psychologiques, les vertus thérapeutiques (c’est comme tel que je le comprends) du tourisme sexuel, et qu’il ne démissionnera pas. Ah, ces jeunes tapineurs adolescents (majeurs ou non) du tiers monde à la peau mordorée qu’il avait tout le loisir de sonner de sa clochette aristocratique ! Ah ces anus délicats du « pays où le soleil ne se couche jamais… », qu’il a nommés dans ses pages, très affectueusement, très délicatement, des « gosses »… Non, Frédo ne démissionnera pas. Il ne démissionnera pas car aujourd’hui : on ne démissionne plus. C’est fini. Entendez-vous Bérégovoy qui gigote de dedans sa tombe : le pauvre était encore à l’heure de l’honneur… Pauvre victime du passéisme…


"Si j'avais su..."


Frédo est même cordialement invité à ne pas démissionner par la quasi-totalité des agents du Spectacle, qui renvoient dans les 22 mètres de la putain conservatrice et puritaine, les quelques contestataires de l’affaire. Que le Front national en fasse partie arrange d’ailleurs bien leurs bidons, leur bidonnage, leur opération de blanchiment, leur combine à fins de non-lieu. Arnaud de Monteboug et Benoît Hamon se retrouvent en plein dans la fosse à purin, en plein dans le marécage en eaux stagnantes, embourbés dans le bourbier de la mièvre morale décrépie, mais qu’à cela ne tienne : Martine est aguerrie, elle veille au grain, et n’a pas son pareil pour passer l’aspirateur… La Aubry s’est donc fendue dans la foulée des déclarations de ses jeunes chiots qui se prenaient pour des loups, d’un communiqué de presse invitant à ne pas faire l’amalgame entre les condamnations émanant de son camp et celles de la succube du Mal absolu : Marine Le Pen. Une façon de laisser à la charge du FN la défense de l’institution primitive que représente l’interdit de l’inceste. Ce ne sera pas la première fois qu’on nous fait le coup : drapeaux, Marseillaise, culture française en ont déjà fait les frais. Tout cela n’existe plus en tant tel. Symboles dévitalisés, colifichétisés, fanfreluchisés, dégradés en vulgaires accessoires de kermesses (à ne chanter et ne brandir qu’aux dates officielles du grand Carnaval, sous peine de symboliser xénophobie, racisme, et souverainisme belliqueux : effets de la diabolisation), en alibis : à l’abri des commémorations et des carnavals culturels à chars et caravanes qui passent, on promeut la mnémotechnie et le réflexe conditionné, au détriment des vieux meubles que sont la Mémoire et la Pensée.


Aux moeurs, on la surnomme la Castratrice


Quand il n’y a plus de différences, il n’y a plus d’intolérance, croient-ils, nos théoriciens du Vivre ensemble… L’ombre de la tolérance qu’ils nous façonnent façon normes de grande hauteur s’étend. Nous vivons dans la nuit. Que les créatures nyctalopes fassent montre d'intolérable.

29 commentaires:

  1. Toutes les explications du monde ne justifieront pas qu'on ait pu livrer aux chiens l'honneur de Michael I am Bad Jackson et finalement sa vie.

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  2. Voici venu les temps de nyctalopes, des clephtes 2.0 ! Veillons jalousement sur notre part de viscères de la France ouverte en proie, entre l'hallalie et la curée !

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  3. Peut-être cela a déjà était dit, mais la ressemblance m'a semblé tellement flagrante ce matin à la une de 20 minutes, Métro, et sur la photo que vous exposez, que je ne peux m'en empêcher :

    http://images1.fanpop.com/images/photos/2500000/The-Matrix-Agent-Smith-Wallpaper-the-matrix-2528119-1600-1200.jpg

    Je ne peux m'empêcher d'y voir un montage potentiel esprit "Ma trique" sauce Kroulik.

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  4. Bravo pour cet article !

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  5. "Le vice de nos "élites" est mis en scène dans une parodie de justice compréhensive"

    De quelle justice, de quel procès parlez-vous ?
    Dans l'affaire Polanski, au contraire, la Justice Américaine, l'a bien eu le pépère.

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  6. "Le fait est que notre ministre de la culture, il y a cinq ans, s’est fendu d’un roman mélancolico-guilleret (maniaco-dépressif donc, je suppose, semblable au personnage), dans lequel il aurait vanté les débouchés psychologiques, les vertus thérapeutiques (c’est comme tel que je le comprends) du tourisme sexuel"

    C'est un fait que c’est ainsi que vous le comprenez.

    Mais d'autres font remarquer :

    "qu'à la sortie du livre « aucune poursuite n'avait été engagé[e] » à l'encontre de son auteur et que l'ouvrage « avait même recueilli de bonnes critiques littéraires et s'était bien vendu (environ 190 000 exemplaires) »16."

    Et se permettent même de rajouter que

    "Le 8 octobre, Frédéric Mitterrand répond(ait) au journal télévisé de TF1 en déclarant avoir certes eu des relations sexuelles avec des jeunes hommes mais en aucun cas des mineurs et qu'il condamnait avec fermeté tout tourisme sexuel et acte pédophile. ".

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  7. La parodie de justice dont je parle est celle qu'on voit à la télévision. A partir du moment où on y voit des plaidoyers, pour moi, c'est qu'on assiste à un procès public.
    Les médias font semblant de demander à l'opinion publique de trancher (elle n'a aucun poids). Petits procureurs de pacotille, petits défendeurs à breloques, tout ça ne va nulle part. C'est une mystification, mais elle assoit une mystique juridique et impacte les valeurs du collectif.
    L'occasion d'évoquer le viol permanent par les médias de la présomption d'innocence, de parler des lynchages lights à coup de conditionnels, rarement suivis d'opérations de réhabilitation ? Non, pas en l'occurrence, car on nous demande de pardonner à un coupable et de condamner une justice étrangère et souveraine, d'essence démocratique, qui voudrait pouvoir aller au bout de son processus... Odieuse ingérence.
    La justice américaine a "rattrapé pépère". Tant mieux. Maintenant, on verra ce qu'il en ressortira.

    Pour Frédéric Mitterrand, qui était d'ailleurs du nombre des commandos larmoyants pro Polanski (il a admis avoir réagi avec un peu trop d'émotivité), il peut avoir condamné tout ce qu'il veut, sa défense a laissé une zone de flou. Je trouverais tout naturel que le boomerang Polanski, lancé avec tant de vivacité et de suffisance, de dessus sa "plateforme"(190 000 ex vendus ? Mon Dieu, décidément la France va mal), lui revienne en pleine poire et lui coûte son portefeuille ministériel.
    Mais effectivement, on peut se demander pourquoi cette affaire ressort des placards. Peut-être juste parce que Frédéric est dorénavant ministre de la Culture... Sinon, pour la petite histoire, quand je vois DSK à la télé, j'ai également envie de sortir mon révolver... L'important, ce n'est pas vraiment une question de moralité : c'est que ceux qui nous donnent des leçons de morale puritaines en permanence vivent de vice à bloc. Quand je pense qu'aujourd'hui, un fumeur qui roule en voiture à Paris est moins bien perçu qu'un violeur de gamine ou qu'un fils à Tonton qui va aux putes en Thaïlande, ben, comme dirait l'autre papa Schultz de la variette : ça m'éééneeerve ! Tout cela, c'est juste une histoire drôle sans chute...

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  8. "qu'à la sortie du livre « aucune poursuite n'avait été engagé[e] » à l'encontre de son auteur"

    encore heureux.

    "Le 8 octobre, Frédéric Mitterrand répond(ait) au journal télévisé de TF1 en déclarant avoir certes eu des relations sexuelles avec des jeunes hommes mais en aucun cas des mineurs"

    Avait-il sur lui les extraits de naissance de ses "gosses".

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  9. jamais trop prudent10 octobre 2009 à 17:09

    "gosses"

    Personnellement, il m'est souvent arrivé de parler ainsi des petits nouveaux fraîchement arrivés dans tel ou tel milieu. Grâce à vous dorénavant je ferais gaffe, je voudrais pas qu'on croit que...

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  10. Humain, trop humain10 octobre 2009 à 17:32

    ".. Allez au tapin, n'est-ce pas humain ?"

    Humain, pas humain, vous en avez de bonnes ! Moi c'que de sous mon lampadaire, c'est que ça paye, la bouffe, le loyer et le reste...

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  11. Ben quand vous aurez votre queue dans leur cul oui, dorénavant, faites gaffe à ne pas les appeler des "gosses".

    C'était le conseil de Lé(s)tat vampire de la République, 1er flic de France de la pensée.

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  12. jamais trop poli10 octobre 2009 à 18:48

    "Votre queue dans leur cul"

    Quelle délicatesse ! Une fois parvenu à ce stade, parviendrait-on encore les appelez les gosses ?

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  13. une allitération, ça n'est jamais indélicat !
    D'aucuns y parviennent, et à la télé !

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  14. Oui c'est vai, mais comme dans le même temps :

    "Le 8 octobre, Frédéric Mitterrand répond(ait) au journal télévisé de TF1 en déclarant avoir certes eu des relations sexuelles avec des jeunes hommes mais en aucun cas des mineurs et qu'il condamnait avec fermeté tout tourisme sexuel et acte pédophile."

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  15. bouche bouclée oui, une belle boucle en lol.

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  16. Voyage au bout de la mauvaise vie11 octobre 2009 à 01:24

    C'est qui le prochain sur la liste ? Houellebecq ?

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  17. Faut pas pendre les enfants du bon dieu avec la cordelette de monsieur le curé11 octobre 2009 à 12:12

    Houellebecq, c'est pas pareil ! D'abord il est pas PD comme Mitterand. Ensuite il est pas comme Polanski soutenu par une horde d'artistes apatrides. Et enfin il est célinien. Et ça ça aide, parce que dans ce milieu, comme dans tous les milieux, on sait reconnaître les siens.

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  18. LFC salut les copains11 octobre 2009 à 12:53

    Oui, la France est aux mains du lobby célinien.

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  19. Depuis le temps que je le dis !

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  20. Beurre rance ou maison franche11 octobre 2009 à 14:39

    S'agit-il ici de la France ou d'une certaine France ?

    La France est, comme on le sait, très partagée sur le sujet. Certains y voient de l'hystérie anti-pédophile, quand d'autres relèvent l'inertie ou la paralysie des élites sur la question.

    Par contre, à gauche comme à droite, céliniens et anti-céliniens compris, tout le monde s'accorde pour ne pas reconnaître le caractère proprement célinien de "la mauvaise vie".

    Le paradoxe était trop plaisant pour se refuser à sauter dessus. Deux pieds en avant !

    PS: Les absents ont toujours tort, mais quand même, on peut rappeler ici le bon mot de Millie (à moins qu'il ne soit de Todomodo): La merde faut savoir l'aérer !

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  21. Babouche a dit :
    " Depuis le temps que je le dis ! "
    :)

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  22. "le caractère proprement célinien de "la mauvaise vie"."

    Alors celle-là, elle est énorme. et ça augure que vous l'avez lu l'étron ?

    "rappeler ici le bon mot de Millie"

    Et celle-ci !

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  23. "énorme"

    Suffit de desserrer un peu mon vieux.

    "Et celle-ci ", elle "augure" quoi ?

    "La merde a de l'avenir. Vous verrez qu'un jour on en fera des discours"

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  24. Hughes aux fraises12 octobre 2009 à 15:44

    Ben raconte nous la mauvaise vie misérable blaireau. Allez une fiche de lecture et plus vite que ça !

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  25. Il a quelque chose contre les blaireaux le traumatisé des banc de l'école ? Y a des extraits qui circulent partout, il a qu'à les lire. Dans le genre descente dans les bas-fonds, Il veut quoi ? Qu'on se tape tout Houellbeck dans la foulée ?

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  26. Jean Paul be Good hein12 octobre 2009 à 17:44

    AHAHAHHA ! vous osez tout ! l'amalgame entre Weshbeck, écrivain, et Mitterrand, le sirupeux nécrophage !
    En fait, clairement là, c'est un appel à la pudibonderie que vous émettez ? AHAHAHAHa! Vous confondez tout sieur Breton, Line de mes couilles et compagnie d'autres pseudo. Je vous conchie et vous compisse : vous êtes un effroyable nain.

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  27. Donatien Alphonse François soit moooovais12 octobre 2009 à 17:56

    Si j'ai bien tout compris on a sifflé la fin de la récré. Fini les pédophiles place à la littérature comparée.

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  28. Comment ça de la "littérature comparée" ? Procéder à un "amalgame entre Weshbeck, écrivain, et Mitterrand, le sirupeux nécrophage", j'espère que vous plaisantez

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  29. Quand est-ce qu'on baise12 octobre 2009 à 21:08

    Bon on fait quoi maintenant ? On parles des putes ? du boom des film pornos ?

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