3 septembre 2009

"Une nouvelle police pour les quartiers" (Le Figaro)

"Les Cadets de la République travailleront en pleine collaboration avec les Services de Sécurité des quartiers afin de prévenir toute nouvelle provocation de la part des Souchiens encore présents" a annoncé Brice Hortefeux


C’est avec un soupir de soulagement que l’on a appris hier la nomination de M Brice Hortefeux au poste de Président du Comité d'Homogénéité Ethnique (Komitomet).


Cet ancien Ministre de l’intérieur fut en 2009 à l'origine des "Équipes de conciliation" mis en place dans les Zones Sensibles à la suite des premières tensions entre Souchiens et habitants.

Devant leur manque d'efficacité, ces équipes furent remplacées par des "Milices pour le Respect et la Discussion" encadrées par des éducateurs sociaux issus de la diversité et chargées de faire tampon entre la Police et les jeunes.

Enfin après l'arrivée au pouvoir de Mme Royal en 2012, ces Comités furent intégrés dans les fameuses "Sections de sécurité Tête de Mow" à qui le gouvernement délégua purement et simplement le maintient de l'ordre des Quartiers.

Ces Sections trouvent leur origine dans les gardes du corps du Ministre Fadela Amara dont elle s'entourait à chaque déplacement dans les quartiers. Triés sur des critères ethniques et cultuels très strictes (production d'un arbre généalogique faisant état des ancêtres dès 1974, études primaires exclusivement en ZEP avec au moins trois redoublement entre le CP et le CM1, copies certifiées conformes d'au moins 10 convocations devant le juge des mineurs du Tribunal de Bobigny), ces troupes d'élites immergées depuis toujours dans les Cités surent très vite imposer leur ordre aux Quartiers.

Cette politique audacieuse de maintient de l'ordre s'était accompagné en 2010-2015 d'un vaste programme de Neutralisation des Zones Sensible (Conférence et Protocole de Bagnolet de septembre 2014).

Ainsi le Plan Madagascar en décembre 2015 avait permis l’évacuation de la majorité des Souchiens hors des Zones. Il restait néanmoins quelques représentants de cette communauté (5% de la population) qui, soit faute de moyen, soit infirmités physiques, soit volonté de provocation n’avaient pu être évacués.

Ces minorités ethniques regroupées en Communauté des Derniers Français de Zones Sensibles (CDDFZS) comme elles se nommaient elles-mêmes persistaient à afficher leur appartenance à la France et ce en dépit du Protocole de Bagnolet. Les termes de cet accord prévoyaient en effet le retrait total de tout représentant et de tout symbole de l’Etat français dans 30 Zones Sensibles, l'autonomie politique des Zones et leur Administration par les Comités de quartier présidés par un Imam et un Marabout.

Les activités économiques étaient, quant à elle confiées par le gouvernement à la N'drangheta (banlieue parisienne), la Camorra (banlieue lilloise), les Triades (Marseille et banlieue) et la Mafia albanaise (banlieue lyonnaise). L’efficacité de ces organisations internationales permit à l’économie de ses Zones de passer du stade de bordel de brousse à celui d’Eros Center munichois.

En échange les autorités politiques et religieuses des Zones assuraient la sanctuarisation des Zones Économiques Prioritaires françaises (centres des villes, zones nucléaires, zones touristiques) dont elles s’interdisaient toute violation.

Cet accord gagnant-gagnant selon les termes de la Présidente Royal, se heurta à l'opposition sur place de quelques irréductibles.

Drapeaux français ostensiblement levés au son de l'accordéon, refus de la Burqa, tubes de Michel Sardou poussés à fond les jours de Ramadan, barbecue de saucisses sur les balcons : tout était bon aux derniers Souchiens pour témoigner leur attachement à une présence française dans des Zones qui ne la permettaient plus légalement.

Face à cette tension, toute étincelle était susceptible de mettre le feu aux poudres. Ce fut le cas en 2017 lorsqu'un vieux Souchien refusa de se découvrir et de changer de trottoir lors du passage d'une Section de sécurité Tête de Mow (Division Nique ta Mère) chargée de sécuriser le ghetto des Muraux.

Il s'en suivi 10 jours de pogroms qui fit 3.000 victimes parmi les Souchiens et 2000 véhicules brûlés.

On attendait donc une initiative du gouvernement Attali pour éviter que de tels débordements ne se renouvellent.

C'est chose faite avec la création du Comité d'Homogénéité ethnique chargé notamment du nettoyage des dernières poches de résistance. Ce Comité sera doté de deux bataillons de forces de l’ordre puisés dans le vivier des Cadets de la République.

M. de Villiers est pressenti comme super préfet chargé des opérations de police et de maintien de l'ordre.

Seule réaction négative, celle de Marine Le Pen. De son exil russe, Marine le Pen a déclaré sa consternation de voir se mettre en place dans les Zones ce que les Nazis a avaient mis en place dans les ghettos juifs. "M. Hortefeux et son âme damnée Villiers ne sont plus à un revirement près. Ce Comité n'est ni plus ni moins l'équivalent des Judenrat de Pologne présidés par des Juifs sous les ordre des Allemand et destinés à faire sale boulot pour eux".

10 commentaires:

  1. "On peut pas dire des trucs pareils! C'est pas possible!"

    (mais j'ai bien ri quand même)

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  2. "jubilatoire"

    "j'ai bien ri"

    Ah les joies simples !

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  3. K : ça me fait plaisir que ça t'ai plu.

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  4. L'épate-bourgeois ça eut payé. Ce qu'il faut maintenant c'est épater la galerie.

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  5. Humour Kartofeln. Zehr Gut mais tout zela ne fa pas nous rameuner Mike Brant…

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  6. Comme Karl je connais que Lagerfeld

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  7. Permettez Monsieur, en ce moment les mien s'appelle Marx.

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