10 mai 2009

S.O.S nichons


Quand j’étais petit, mes parents n’avaient pas toujours assez d’argent pour partir en vacances. On restait donc à glandouiller dans les rues désertées de Lyon, où je continuais pourtant à jouer avec mes camarades, fils de fauchés eux aussi, champions de football sur bitume hantant les espaces calmes de la place Carnot. Pour nous, pendant ces pseudo vacances, le vélo n’était pas un jeu, un sport ni un divertissement : c’était un art de vivre. Nos trois vitesses pourris nous transportaient partout, dans des quartiers affreux qu’on ne faisait que traverser, sur les pentes des collines lyonnaises qui se débaroulent presque sans freiner mais en poussant toujours d’affreux cris d’apaches. Sortir de chez soi sans vélo, non, personne n’aurait imaginé un truc pareil. En y repensant, je me dis qu’à douze ou treize ans, explorer sa ville en vélo devrait être considéré comme un droit humain fondamental.
De passer notre temps sur deux roues, nous n’avions presque plus l’impression de « faire quelque chose » quand nous ne faisions que ça. On emportait donc souvent de quoi s’occuper une fois parvenus dans le coin choisi. En dehors du sempiternel ballon de foot et des plus rares raquettes de tennis, nous emportions parfois des maillots de bains, les jours où nos mères nous avaient lâché les quatre francs pour la piscine. Au mois d’août, Lyon est une ville impossible, presque autant que Grenoble, une cuvette chauffée où l’on étouffe en s’emmerdant considérablement. Si la piscine ne met pas à l’abri de l’ennui, bien au contraire, elle dispense au moins une certaine fraîcheur chlorée, et on y rencontre des filles. La piscine faisait donc partie des luxes qu’on parvenait à se payer de temps à autres, et particulièrement la « piscine du Rhône », la plus proche de chez nous, la moins chère, située sur la rive gauche du Rhône, en contrebas des quais, presque au niveau du fleuve. Une des particularités de cette piscine, c’est que les passants qui déambulent sur le quai peuvent voir ce qui s’y passe. Ils peuvent même stationner le long des grilles et mater comme bon leur semble les jeux aquatiques qui se déroulent en dessous, admirer, tout au long des après midi de pure oisiveté, les bronzages en train de se faire.
A l’époque, au début des années 80, bien des glandeurs se sont ainsi repus du spectacle de la jeunesse en train de batifoler. Les mateurs étaient surtout des hommes, il faut le dire, des hommes entre deux âges, des types seuls, assez souvent des chibanis mutiques. Certains marquaient une courte pause, s’emplissaient la vue de scènes exaltantes, puis reprenaient leur chemin. D’autres y passaient des heures, accrochés aux grilles comme on voit les singes des zoos le faire, nonchalamment. Mais j’oublie de dire l’essentiel : en ces temps obscurs où les Chiennes de garde ne veillaient pas, où la Halde ne sévissait pas encore, où Ni putes ni soumises n’exerçait pas encore sa police, dans cette piscine populaire en plein centre de la ville, sous l’œil de qui voulait bien l’ouvrir, les femmes se baignaient les seins nus ! Tu as bien lu, lecteur incrédule, j’ai vécu ces temps héroïques ! Oh, bien sûr, toutes les femmes ne déballaient pas leur poitrine dans un mouvement militant, non, celles qui en ressentaient l’envie le faisait, pas plus discrètement ni plus ostensiblement que ça : avec naturel. Les mecs ne les draguaient pas plus que les autres, en tous cas, je n’ai jamais été le témoin de gestes ni de menaces agressives (même s’il a pu y en avoir). Même si la chose ne semblait pas tout à fait banale, personne n'aurait été assez bas de plafond pour parler d'impudeur. Si ma mémoire est exacte, et pour être très précis, il me semble que les femmes se bronzaient les seins nus, mais qu’elles remettaient le soutif pour le bain. Qu’importe !
Presque trente ans plus tard, dans la France entière, le progrès est formidable : quand des femmes ôtent leur maillot du haut, la presse accourt et en fait un événement. Les séditieuses qui s’y risquent se regroupent en mouvements de militantes furieuses, ivres de provocations et de féminisme radical ! Le tout sous les coups des vigiles, sous les plaintes et sous les crachats ! Aujourd’hui, il faut au moins être une tumultueuse pour oser, en groupe, un tel vandalisme social ! Y’a pas à dire, on est allé de l’avant ! Notre société semble s’être transformée en un lieu d’échange de coups, un forum de la confrontation où des groupes irréductibles se frittent en permanence et à propos de tout. Rien de ce qui faisait l’ordinaire de la vie ne semble capable de rester en place bien longtemps. Si les Tumultueuses se remettent à ôter le maillot, c’est que les règlements des piscines sont devenus plus restrictifs, que l’habitude s’est perdue, c'est aussi qu'on s'est remis à parler d'impudeur au sujet des naïades. Un jour, peut-être, les piscines municipales définiront partout des créneaux horaires pour les femmes, voire des tenues obligatoires selon la religion de la baigneuse, et celles qui voudront s’en affranchir devront s’armer, monter une opération militaire et risquer le sacrifice de leur vie dans l’assaut.

127 commentaires:

  1. Les tumultueuses ont des petits seins. Ce qui est assez navrant.

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  2. C'était le bon temps. Nous avions l'innocence pour nous. Nous ne lisions pas le journal. Nos yeux n'auront donc rien vu des polémiques relatives aux seins de ces dames. Le Burkini n'existait pas, pas plus que les associations mentionnées plus haut, mais les ligues de vertu avaient encore parfois quelque poids. Les piscines des grandes villes échappaient cependant depuis longtemps à leur influence, traversées qu'elles étaient par un tout autre courant.

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  3. mmh Bebop, la piscine qu'elles ont choisie est un endroit très particulier. C'est en plein forum des hall, une piscine de supermarché, on y nage en plein parisianisme... Une population de sportifs hardcores et de gais garçons, il n'y a que des lignes d'eau avec des panneaux qui indiquent le niveau de chaque ligne et le style de nage qu'on doit y pratiquer... Malheur à l'imprudent (et surtout imprudente) qui a choisi la ligne rapide et ne nage pas assez vite, il sera noyé!
    Je l'appelle affectueusement "la piscine des nazis"...

    Tu penses bien qu'elles auraient eu moins de succès sur la base de loisir de Chafouin les Vignes.

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  4. Nostalgie nostalgie.
    Ceci dit la démocratisation des seins nus à la plage s'est réellement amorcé dans les années 80. Précisémment au moment où ça a commencé à être le début de la fin de tout...

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  5. Je me demande qui ignore encore la cause de la raréfaction des seins nus dans les piscines... Suffit de savoir observer. Et de savoir observer la Piscine du Rhône cet été par exemple. Certainement la moins désagréable, à vrai dire, surtout si on la compare à celles de Garibaldi, de Saint-Priest ou de Bron.
    Allez, une petite citation de l'Homme au Membre d'Acier:

    "On ne dira jamais assez à quel point la maghrébisation, l’africanisation, la tiers-mondisation de la France ont fait baisser vertigineusement le niveau de civisme et de civilité de la population française. À quel point ce recul du niveau de conscience démocratique fut voulu par le patronat et le pouvoir : des voyous et des abrutis plutôt que des ouvriers conscients de leurs droits… et de leurs devoirs." — Alain Soral, sociologue - Jusqu’où va-t-on descendre?, 2002

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  6. "Un jour, peut-être, les piscines municipales définiront partout des créneaux horaires pour les femmes, voire des tenues obligatoires selon la religion de la baigneuse, et celles qui voudront s’en affranchir devront s’armer, monter une opération militaire et risquer le sacrifice de leur vie dans l’assaut."

    CGB = SS !

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  7. Ah... Le camp du progrès est-il du côté des seins nus ou des horaires aménagés pour cause de pudeur?

    K. n'a pas tort, les tumultueuses auraient mieux fait de choisir pour la sport la piscine de Roubaix (voire Lille ou Nantes)... Triste époque, de nos jours, un acte médiatique réussi doit se faire à moins de 500 mètres de l'hôtel de Ville de Paris.

    "Ceci dit la démocratisation des seins nus à la plage s'est réellement amorcé dans les années 80."

    J'ai l'impression que là aussi, le camp du progrès recule et que ce ne sont que les "vieilles" ayant connu mai 1968 qui font du "topless".

    Le CGB sera d'ailleurs en tournée au camp de naturistes de Montalivet (Gironde) cet été.

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  8. "On ne dira jamais assez à quel point la maghrébisation, l’africanisation, la tiers-mondisation de la France ont fait baisser vertigineusement le niveau de civisme et de civilité de la population française"

    2002. Depuis la fougue membre d'Acier est un peu retombée (redescendue ?)

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  9. Pourriez-vous retirer la photo que je puisse lire le texte.
    Merci

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  10. "la fougue"

    C'est comme tout, ça va, ça vient...

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  11. "la photo"

    Vos éminents confrères vont se moquer de vous.

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  12. Attention, ne pas confondre... Ce n'est pas une simple photo, c'est une illustration.

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  13. En fait, les Tumultueuses, je m'en fiche un peu. Pour une grande part, leur existence prouve que le combat est perdu. Pour la génération née après 68, le "féminisme" pouvait aller de soi, en tous cas la considération égale de la femme et de l'homme. Pour une partie de celle née dans les années 80, nourrie au rap, à NRJ et à l'islam barbu, c'est beaucoup moins sûr.
    Ce qui rejoint un peu l'extrait soralien fourni ci-dessus, mais que je pondèrerais: dans ma petite histoire, la plupart de mes camarades étaient arabes, mais le rap ne leur avait pas encore donné la licence de traiter de sale pute chaque boulangère qui se trompe en rendant la monnaie. Si les règlements des piscines interdisent le "seins nus", ce n'est certainement pas sous la pression des ligues de vertu et des vieilles rombières, c'est parce que ça crée des incidents avec des petits cons, et qu'on veut la paix. Là où Soral se trompe, c'est quand il ignore que partout où la misère sociale/culturelle règne, partout où le rap remplace l'éducation, la civilité s'effondre (même en Lithuanie, dans des cités sans maghrébins, sans africains...

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  14. "Là où Soral se trompe, c'est quand il ignore que partout où la misère sociale/culturelle règne, partout où le rap remplace l'éducation, la civilité s'effondre (même en Lithuanie, dans des cités sans maghrébins, sans africains..."

    Et voilà, c'est malin... Sky vous avais pourtant dit de suivre les consignes d'hygiène. D'accord Diego vous a pas refilé sa grippe, mais vous avez quand même les accents de certains de ces petits camarades obstinés.

    Quoi le rap ? Ca change quoi le rap ? Ca leur passera le rap et le djembé... Avec l'âge, il finiront comme tout le monde, nos petits bloqueurs. Un petit coup de nostalgie, un petit coup de rouge, un blague de cul et une saillie contre le nabot du moment.

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  15. Ah oui, les terribles émeutes lituaniennes, les viols en folle recrudescence, tout ce racket entre Lituaniens... votre relativisme vous honore, malheureusement ceux qui insultent ladite boulangère sont souvent les enfants des gentils amis maghrébins avec qui nous jouions étant enfants.
    Après l'enfance, retour aux racines. Certains peuples ne sont pas miscibles (Chevénement spirit).

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  16. Je veux pas foutre la merde... mais quand je vois comment on a réagi ici à mes interventions, au fait que j'aie mis en ligne des photos de mon visage... La racaille, je suis désolée de vous le dire, vous en êtes.

    "Quand j'entends le mot culture je sors mon révolver" - Et quand la racaille aura fini de dégommer la culture, qu'est-ce qu'il lui restera? Il lui restera la vaste mécanique des basses passions, la vulgarité générale, la vilénie des pauvres diables retournés à l'état de nature, réduits par la misère à leurs fonctions primaires. Le monde sera mille fois plus dur pour les laisser-pour-comptes une fois que la culture ne sera plus là pour parler d'eux et faire valoir leurs droits d'humains.

    Ici il y a une violence de ton générale, une incapacité à parler dans les yeux avec les filles qui viennent à vous sans défense pieds et mains nues, qui fait peur à voir.

    Re-civilisez-vous les gars! You should be ashamed!

    Quand je vois par exemple les bouses primitives du dénommé SeulContreTous, j'ai franchement envie de me tirer une balle : le monde va mal, les mecs, et vous ne faites rien de bien probant pour l'embellir.

    Shame on you!

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  17. Les seins nus, les filles qui n'ont pas peur de rire, de boire et de jouer avec les hommes, c'est le rêve de la racaille. Mais c'est à cause de la racaille si ce genre de fille doit se terrer et devenir avare de ses charmes.

    Bientôt les bonnes femmes qui portent des foulards sur leurs cheveux vont venir nous apprendre la vie, à nous autres les occidentales, et tout ça uniquement parce que leurs mecs, leurs frangins, leurs petits garçons ne savent pas se tenir, ne savent pas aimer une femme en la respectant.

    Oui je préfère les juifs. Parce que le juif moyen en général qui te dit : "donne", si tu te donnes il te traitera pas de pute.

    J'en ai connu ici une écrasante majorité qui aurait eu fort à apprendre d'eux.

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  18. @ la rédaction : "quand je vois comment on a réagi ici à mes interventions"

    Je parle pas de mes dernières interventions, bien sûr.

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  19. Entièrement d'accord avec Beboper: le problème n'est pas tant l'envahissement par les maghrébins et les africains que l'effondrement de la civilité "à la française". Si les dégénérés nourris de sous-culture sont si forts, ce n'est que parce que la nature à horreur du vide.

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  20. @ El Topo : Oui, d'accord. Mais à votre avis, le vide, c'est plutôt quoi : les blanc-becs imbibés de littérature et d'images qui se font bouffer par la vie parce qu'ils ne sont pas adaptés à la réalité (y'en a pas mal je trouve, en proportion de la population française de souche)? Ou plutôt les connards de base qui jouent au poker et se conduisent comme des bestiaux de concours pour s'adapter à l'air du temps?

    La question elle est encore une fois pas de désigner des bouc-émissaires, elle est pas de pointer du doigt des responsables, parce que c'est un procès interminable, dont nous n'aurons jamais le dernier mot. La question elle est de protéger les faibles, et de niquer leur gueule à ceux qui se croient tout permis. Et les musulmans en particuliers (bien sûr c'est pas les seuls) se croient en général un peu trop tout permis.

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  21. tout ça me fait bien rigoler... Comme si le problème de l'incivilité était la chasse gardée des racailles. Pour ma part, je vis plutôt dans un quartier bourgeois. Si je suis votre raisonnement, la civilité devrait régner sans partage sur ce territoire. Eh ben vous savez quoi les mecs ? C'est pas que c'est loin d'être le cas: c'est pire. Et il ne s'agit pas d'une population qui écoute du rap. D'ailleurs, à ce propos, j'en écoute beaucoup et je dis toujours "bonjour madame", que cette dernière soit seins nus ou non.

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  22. "Oui je préfère les juifs. Parce que le juif moyen en général qui te dit : "donne", si tu te donnes il te traitera pas de pute."

    J'ai rien compris là...

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  23. Putain bravo ! Qu'est-ce que vous leur en avait mis à ces messieurs ! Mieux que Caroline F. et Clémentine A. réunies.

    Quoi les juifs ? Quoi les musulmans ? On s'en fout ! Et eux aussi en fait... Réduire les djeuns à casquettes à la religion de leur ancêtres, faut vraiment être un(e) droitard(e) vachard(e) pour descendre aussi bas.

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  24. "J'ai rien compris là..."

    Ca doit être de l'ordre de l'expérience. On ne peux rien dire contre ça. "La subjectivité radicale" comme on disait dans certaines chinoiseries dialectiques. Bon, c'est un peu passé de mode, mais dans certains milieux paraîtrait que ça reviens plein pot.

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  25. Si on s'en fout comme vous le dîtes pourquoi parlez vous, et dîtes moi anonyme comment faîtes-vous pour parler sans subjectivité, vous êtes à plusieurs ?

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  26. Ceux qui comprennent pas font exprès de pas comprendre. Ou alors vous êtes 1000x plus bouchés que les droitards vachards d'Ilys.

    Putain, c'est si compliqué pour vous, la notion du débat? Dans un débat, les gens sont pas tous d'accord à la base, ni d'ailleurs en général à la fin. C'est ce qui en fait tout le charme.

    "Quoi les juifs ? Quoi les musulmans ? On s'en fout ! Et eux aussi en fait..."

    Ben non justement. Je sais pas si vous avez remarqué, y'a que les occidentaux qui oublient leurs origines, et les gens de couleur qui ont un mode de vie et un background culturel parfaitement occidentalisés, et parfois certains juifs traumatisés par la shoah. Les arabes en général, leur origine ethnique, c'est un truc qui les obsède - en France, en Allemagne, en Angleterre (...etc) la plupart ne s'intègre pas. Ils ont l'obsession de leur différence. Les noirs pareils. Y'a beaucoup de racisme anti-blanc de leur côté, et ils ont tendance aussi à respecter davantage les blancs racistes (voir Soral, Dieudonné et compagnie), parce que ça leur renvoit une image du monde plus conforme à ce qu'ils peuvent comprendre : parce que les luttes interraciales c'est typiquement un truc de sociétés tribales, de sociétés traditionnelles.

    Le multiculturalisme en tant que philosophie n'existe en fait que chez les blancs et chez les juifs. Partout ailleurs les hommes se définissent d'abord par rapport à leur sang, en opposition aux autres (cf : le Japon et la Chine xénophobes, les luttes claniques en Afrique...).

    Hé oui... Dur de cracher sur l'Occident quand on aime la paix entre les peuples, les jolies métisses et les seins nus.

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  27. "Le multiculturalisme"

    Ca aussi on s'en fout comme du comunautarisme et de beaucoup d'autres attrape-gogos.

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  28. "Comment faîtes-vous pour parler sans subjectivité, vous êtes à plusieurs ?"

    je ne peux vous répondre, je ne vois même pas comment une telle chose pourrait se faire. Je me demande d'ailleurs comment vous vous y êtes pris pour arriver à formuler pareille question.

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  29. En vous lisant tout simplement avec vos apophtegmes décisifs, vous êtes partisan d'une orthographe simplifiée ?

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  30. "y'a que les occidentaux qui oublient leurs origines"

    Z'êtes allée la chercher chez Fdesouche celle-là ? Et ils sont qui nos petit jeunes de la banlieue ? Des orientaux ?

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  31. Le communautarisme comme l'ethnodifférencialisme sont des notions politiques, qui sous-tendent certaines philosophies. Lorsqu'on échange à ce sujet sur un blog qui aborde la question du dialogue interracial, on a le droit d'en penser ce qu'on veut, et même d'être tout simplement pour ou contre (quand on n'est qu'un imbécile) mais on n'a pas le droit de reprocher aux contributeurs du débat d'utiliser ces mots. - Ces mots qui sont très utiles et qui ont un putain de sens, mon vieux! - Ces putains de mots qui permettent d'appeler un chat un chat!

    La peur des mots est le premier signe de la dégénérescence de notre temps. Continue à te voiler la face ; après tout on ne demande rien d'autre aujourd'hui aux idiots utiles du système.

    ***

    PKK est trop subtil pour toi. Tu ne peux pas le comprendre parce que vous n'appartenez pas au même monde. Il utilise un langage philosophique qui s'adresse aux grands singes dotés d'un background culturel minimal et qui sont encore doués de raison.

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  32. Millie Vanilly11 mai 2009 à 18:23

    putain mais ferme ta bouche !
    tu t'es faite virer d'Ilys ou quoi pour revenir casser les couilles sur le CGB ?

    PKK "il utilise un langage philosophique" avec un pseudo de tocard pour le petit tocard qu'il est.

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  33. Je n'ai ni peur des mots , ni des gogos. J'adore les premiers, mais j'excècre les seconds. Plus généralement j'abhorre tout ce qui, dans le domaine de la pensée, ressemble à un isthme. Voyez, que moi aussi j'aime appeler un chat un chat et planter mon dard là où ça fait mal.

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  34. @ Millie:
    Le vide, c'est l'absence de la décence commune chère à Orwell, décence commune qui ne peut se baser sur le mépris de soi. Or l'on sait que le patriotisme français est devenu ringard au moins depuis la chanson "Hexagone" et le film "Dupont-Lajoie". Aussi il est parfaitement logique que les racailles ne respectent pas des gens qui ne se respectent pas eux-mêmes. Le fait d'être français sans complexe, allié à l'existence d'une vraie culture ouvrière aujourd'hui disparue avait permis l'assimilation de générations de fils d'immigrés. Mais l'on pourrait parler de cela encore longtemps en évoquant la fin de l'école républicaine, le tabou de la violence qui frappe les occidentaux en les émasculant, le culte de l'argent facile et de la force brute qui tient lieu de sous-culture (justement véhiculé par certains rappeurs) à des lumpen très souvent méprisés comme des dégénérés au bled, etc, etc, etc.
    Alors je me demande un peu ce que l'Islam a à voir là-dedans, brandi comme il est par des sous-merdes sous-éduqués comme un talisman. Non pas que je fasse de l'angélisme: je sais très bien que l'empire des califes ne s'est pas fait en tendant l'autre joue. Mais le véritable coeur du problème ne me semble pas résider ici mais bien dans notre faiblesse intrinsèque.

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  35. Je n'ai été exclue de nulle part, mon vieux. Ni d'Ilys, ni du CGB. Heureusement les gens qui rédigent sont pour la plupart bien un peu dessus de ceux qui commentent. Ils savent que le public du CGB (à l'exclusion de ceux qui fréquentent aussi le reste de la réacosphère) est un public en grande partie de demeurés geignards et de vieux shnocks frustrés. Vous faites peine à voir, les mecs. J'ai même pas de rancoeur contre vous. Juste de la désolation : je suis toujours sidérée quand je rencontre autant de bassesse. Ca me dépasse.

    Non, en fait sur Ilys, ça bouge pas trop en ce moment. J'avais envie d'en découdre, de causer un peu avec des "vrais gens", c'est-à-dire avec des cons, pour reprendre contact avec la réalité. C'est toujours bon quand on a tendance comme moi à se faire des illusions sur la nature humaine.

    ***

    En suite je suis peut-être le premier commentateur depuis des mois qui aborde un sujet de fond ici sans faire du copié-coller d'auteur ou ressasser de vieilles âneries qui plaisent à tout le monde (en même temps je lis plus les commentaires ici depuis longtemps, autre chose à foutre), alors bon comme de toute façon je me re-casserai très vite, profitez-en.

    ***

    PKK il est juste trop bien pour vous. D'habitude il ne vous lit pas, vous lui donnez envie de vomir, mais là comme je lui parlais de vous, il est venu voir. Et franchement, bien qu'il n'ait encore rien vu de votre surpuissante nullité, vous ne l'avez pas déçu. Il est sidéré.

    PKK un tocard? Mais lave-toi la bouche au savon, mon vieux. Je te dis même pas que tu serais incapable d'écrire comme lui... parce qu'à la vérité tu n'as même pas ce qu'il faut dans le crâne pour le lire.

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  36. Antiosioniste tu perds ton sang frooooiiiddd !

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  37. Millie, la preuve vivante que la névrose juive, n'est pas QUE juive.

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  38. Yaya du centre Zahra White11 mai 2009 à 20:09

    Derrière chaque femmes aux seins nus se cache un sioniste !

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  39. "En vous lisant tout simplement avec vos apophtegmes décisifs, vous êtes partisan d'une orthographe simplifiée ?"

    Et bien tu as mal lu, pédant ! Pour ce qui est de l'orthographe, on s'applique comme on peut. Et du reste, on t'emmerde !

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  40. Je l'encule PKK et toi avec petite demeurée.

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  41. "En suite je"

    Vous pouvez traduire en kurde, siouplaît ?

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  42. "Plus généralement j'abhorre tout ce qui, dans le domaine de la pensée, ressemble à un isthme."

    C'est joli. :) Ca veut dire quoi?

    ***

    @ El Topo : Je vais juste revenir sur cette phrase, parce que globalement j'ai aucune grande raison d'être en désaccord avec vous :

    "Aussi il est parfaitement logique que les racailles ne respectent pas des gens qui ne se respectent pas eux-mêmes."

    Juste une chose. Vous savez, le respect de soi-même, les gens s'accordent à en faire une valeur positive absolue. Ca fait très pub Nike, les gens aiment bien. Mais quand on y réfléchit sérieusement, sans aprioris, on se rend compte qu'il y a des cas dans la vie où il faut cesser de se respecter soi-même. Y'a des fois, c'est pas seulement le soi-même qui compte, mais l'autre, c'est-à-dire la communauté, les gens qu'on aime, la société (quand on veut quand même en faire partie)... Ca s'appelle l'esprit de sacrifice. C'est judéochrétien et c'est super beau.

    Ce que je pense c'est que si des barbares viennent chez nous qui ne respectent que les fascistes d'Egalité&Réconciliation, c'est-à-dire les grosses brutes qui ne respectent qu'eux-mêmes, qui ne respectent que leur propre sang, leur race, leur bite et leur couteau (version trash du I-me-mine), y'a un gros problème. Si ces mecs qui viennent en France, parce qu'ils sortent tout droit du trou-du-cul du monde, ne respectent que les femmes qui se respectent elles-mêmes, y'a aussi un gros problème. Parce qu'une femme qui aime, une femme qui jouit, par définition elle met en danger son image de pureté, sa sécurité émotionnelle, elle offre son corps, elle se fait prendre de fond en comble, ce qui veut dire dans les faits qu'elle cesse purement et simplement de se respecter. En fait la femme amoureuse, elle attend de l'homme qu'elle a choisi qu'il se charge de ce respect qu'on lui doit. - Qu'il la respecte pour deux! C'est ça le don dans l'amour. C'est ça aussi dont parle le Christ : le sacrifice dans l'amour.

    Et ça bordel de merde, les musulmans, les mecs du bled, ils ne respectent pas! Ca c'est du chinois pour eux. Ils veulent des femmes qui se respectent, c'est-à-dire des femmes qui n'ont pas le droit de jouir. C'est aussi simple que ça.

    ***

    A propos des méfaits du tribalisme et de l'Islam, sérieusement je vois pas l'intérêt d'en dissocier les effets. L'Islam se greffe par définition sur toutes les misères du monde, c'est la religion de la revanche, la religion de la vengeance des maudits. L'Islam c'est une version jusqu'au-boutiste du vieux : "Debout les damnés de la terre". Mais une version encore plus dangereuse que le communisme, plus fanatique encore, qui se répand à la fois dans le tiers-monde et dans le monde civilisé à vue d'oeil. Partout où il y a de la grande misère sociale, culturelle et sexuelle, maintenant l'Islam se greffe. En ça c'est une sorte de parasite, - mais pas vraiment la cause originelle de la misère, j'en conviens.

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  43. "En suite je suis peut-être le premier commentateur depuis des mois qui aborde un sujet de fond ici sans faire du copié-coller d'auteur"

    Mais par contre qu'est-ce que ça tartine !

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  44. C'est joli. :) Ca veut dire quoi?

    C'est vrai ça vous plaît ? Alors imaginez une bande de cul-terreux à la pensée étroite pensant faire le lien entre deux mondes, celui ou il vivent et celui qu'ils fantasment.

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  45. On peut y voir aussi un conduit ou un goulot d'étranglement où on essayerait coûte que coûte de faire passer sa vision du monde. Ca donnerait un truc du genre musulmans par opposition aux juifs ou encore occidentaux contre orientaux et mille et une autres conneries binaires.

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  46. Vous savez, organiser le monde selon un principe binaire, c'est aussi tenter de le ré-ordonner. ^^ C'est comme ça que fonctionne la morale : il faut d'abord deux pôle: le bien, le mal. Ensuite on fait jouer ce schéma à l'infini, selon des configurations toujours plus compliquée. Mais surtout ces deux pôles du bien et du mal, pour que le monde soit un peu moins injuste, il ne faut jamais renoncer complètement à essayer de les faire un peu communiquer. ^^

    Moi aussi j'écris pour me rapprocher de ce dont je parle : c'est-à-dire du monde, dans toute son incommensurable cruauté logique.

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  47. Comme c'est touchant... En attendant de sauver le monde, rendez nous votre kurde de pacotille. Il nous doit une leçon d'orthographe, mais on en a toujours pas vu la couleur.

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  48. Millie tais-toi arrête d'écrire s'il-te-plaît c'est horrible à lire, tu enchaînes les poncifs, les raisonnements hasardeux et les conclusions hâtives.

    Je t'en prie.

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  49. "Moi aussi j'écris pour me rapprocher de ce dont je parle : c'est-à-dire du monde, dans toute son incommensurable cruauté logique."

    Jamais rien lu d'aussi beau depuis ça:
    http://www.frmusique.ru/texts/e/emilie_jolie/emiliejolieetgrandoiseau.htm

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  50. "Je t'en prie."

    gnah gnah gnah gnah gnah... Et ça geint!

    Ca n'argumente pas, ça avance du vent sans jamais rien prouver, ça capte que dalle, ça pérore sans raison, mais ça tient encore à se plaindre! Il faut que les gens qui ont quelque chose à dire se taisent, eu égard pour les bons-à-rien.

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  51. Tu n'as rien à étaler, si ce n'est des opinions vaseuses et des distinctions hésitantes depuis longtemps tranchées dans les esprits de ceux qui lisent ce site.

    Tu écris 15 lignes quand tu pourrais en écrire 2.

    Tu uses d'outrance à gogo, tu souffres d'une sorte de rationalisme évanescent qui t'amène à trancher dans des débats éthérés que tu t'inventes. Le plus grave étant que tu ne t'en rends pas compte.

    Et dire que je croyais Denis L. en tort quand il t'envoyait balader. Ah le con! Pour le coup il avait vu l'horreur venir et prendre ses aises.

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  52. Vous perdez vite votre sang-froid les gars, vous ne savez pas écrire vous m'enculez tant mieux, j'ai un pseudo de tocard pour petit tocard encore plus puissant, la névrose juive on atteint la grande psychologie. Avanies, insultes, vulgarité, tutoiement, c'est la ferme des animaux chez vous où sont les porcs qui vous gardent ?

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  53. "Il faut que les gens qui ont quelque chose à dire se taisent, eu égard pour les bons-à-rien."

    Merci pour eux ! Avoir quelque chose à dire n'est pas forcément suffisant, encore faut-il que cela ait un quelconque intérêt. Au fait, vous vous jugez bonne en quoi ?

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  54. Grosse bouche avide11 mai 2009 à 23:25

    En parlant de seins nus... je serais bien partant pour une petite tétée, Millie... ça te tente ?

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  55. Millie je viens de lire tes commentaires, et comment dire…

    Ça te dirait d’être Miss Panama ?

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  56. Ma chère Millie, comme je ne suis pas les aventures de tes commentaires ailleurs qu'ici, et que le temps me manque pour fureter de blog en blog, j'apprends à l'instant que des gens te chicanent, des gens même pas du CGB! ça me désole un peu, mais je me demande bien quel rapport tu fais avec ce modeste article? Enfin, te lire est toujours une aventure. Au fait, je ne comprends pas bien pourquoi le mot "juif" a été écrit ici. Je cherche, mais ne trouve pas.
    Sinon, pour préciser mes préventions contre le rap et sa (sous) culture, je demande qu'on ne me prenne pas pour un demeuré parfait: je n'ai pas dit qu'un amateur de rap sombrait forcément dans l'incivilité et le meurtre de masse. j'ai simplement dit que le modèle donné par le rap favorisait le durcissement formel des rapports quotidiens entre les gens. Comme la grande culture rock des années 70 a légitimé la consommation de drogues (entre autres choses)pour les ados de l'époque, comme elle a servi naturellement de modèle, le rap, ou une partie de celui-ci, avec son langage de gangster, sa surenchère violente, son imagerie simiesque, sa morale de macs, en un mot, sa barbarie au ras des paquerettes, le rap, dis-je, fourni un modèle à des millions de pauvres cons qui trouvent bien de dire filsdeput! à chaque fin de phrase, et qui pensent par contagion que chaque femme est une salope. Le rap n'est pas à l'origine de la régression, mais il l'a accompagné, il l'influence, et bientôt il l'incarne.
    Tout à fait d'accord avec El topo: c'est parce qu'on ne se défend pas que les connards pullulent (en ce sens, je dis OUI aux Tumultueuses, qui ont le mérite de l'ouvrir). Qui nous dit que la société française n'aura pas un jour des problèmes parce qu'une partie active de sa population trouve "immoral", "impudique", "blasphématoire" que des statues dénudées soient exposées à la vue de tous dans les squares, ou que l'interdit religieux de la représentation humaine doit être appliqué au Louvre? Qui?

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  57. Impossible Amigo ! Elle est déjà Miss orthographe au Kurdistan.

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  58. "c'est parce qu'on ne se défend pas que les connards pullulent (en ce sens, je dis OUI aux Tumultueuses, qui ont le mérite de l'ouvrir)"

    Pourquoi ne pas l'avoir dit plus haut, ça nous aurait peut être évité tous ces détours, ces Moi J'écris, Juifs, musulmans, Porcs et autres Bons-à-Rien.

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  59. Excellent texte de Beboper, où le plus important -mais on ne voit bien qu'avec le coeur- était dans la musique des promenades en vélo et autres rires de gamins.

    Venir lui faire cortège en crépitant de polémique est tout ce qu'il y a de plus anti-poétique. Tout simplement digne des plus rabougries et déplumées des chauves-souris.

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  60. Millie, ta grille de lecture du monde actuel est d'une indigence, d'un manichéisme qui fait réellement peine à voir.
    En voici une un peu plus subtile qui, après lecture, t'invitera, je l'espère, davantage à la nuance.
    http://www.legraindesable.com/html/guerre-des-sexes.htm

    (hormis le dernier paragraphe qui sombre hélas dans un nihilisme adolescent..)

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  61. "où sont les porcs qui vous gardent ?"

    Malheureux, tu veux les faire fuir à coups de blagues haram ?

    Sinon, c'était un chouette texte, Beb.

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  62. Pour compléter sur le rap et la sous-culture.
    Une sous-culture c'est toujours agréable d'y goûter, voir de s'y plonger lorsqu'on possède déjà la culture.

    Rien à voir avec celui qui n'a pour seule culture que sa sous-culture de rap sur fond de TV à hautes doses.

    Et le pire c'est lorsqu'il arrive à l'école et qu'on le maintient dans sa merde en lui proposant de "rédiger une lettre à Youssoupha" ou bien d'étudier la prosodie de grand cor au pied.

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  63. non mais autant Millie ne sait faire que la preuve de son indigence, autant vous avez vraiment tous fumé la moquette : ce texte, il est vraiment pas terrible, tant du point de vue du fond, basiquement réac, à savoir pseudo nostalgique, que de la forme. Dieu sait que je suis un fidèle lecteur du CGB et que j'apprécie particulièrement ta plume Beboper, mais là, franchement, je dis stop.

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  64. Jacques Desidérata12 mai 2009 à 09:21

    OKapi les mecs ! J'ai pas attendu le rap pour dire des gros mots. Le fait est que je pense que le rap est un fruit du même phénomène qui conduit toute la société à l'incivilité. Vous pensez qu'il l'amplifie. Non, disons qu'il institutionnalise un code de comportements vestimentaire et langagier. Ensuite y'a récupération par le système et promotion de sous culture.
    Le problème à la base, c'est pas le rap. C'est la déconstruction.

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  65. ""rédiger une lettre à Youssoupha" ou bien d'étudier la prosodie de grand cor au pied."

    Mais y a ENCORE PIRE , à ce qu'on m'a dit ! Y a Morsay en boucle dès la petite-section !!! Et en plus elles font ça en douce les salopes ! Bien planquées derrière des "fiches séquence" qui ne trompent heureusement personne. Un exemple:

    http://www.prepaclasse.net/fichiers/semainepoesie.html

    "visiter des lieux deVictor Hugo dans Paris". Ah bon il revendait des AK47 aux Puces de Clignancourt ?

    "Lien avec l'Histoire : étude de Napoléon". Ouais c'est ça et mon cul sur la commode Louis XVI ! Comment ? En récitant "c'est quelqu'un qui m'a dit..." ?

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  66. Je n'ai pas dis que tous les profs étaient des larves démagos qui se faisaient plaisir en flattant bassement leurs élèves.

    Heureusement.

    Seulement, ça existe. Les deux exemples que j'ai donné sont réels. Et ça touchera toujours les pires classes, évidemment.

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  67. @ Beboper : Evidemment qu'écouter du rap ne transforme pas automatiquement les gens en tueurs en série. ^^ Je ne le pense pas non plus, c'est juste mon ton qui est un peu martial. Je suis venue en découdre exprès, un peu en souvenir du bon vieux temps, beaucoup pour mettre une raclée symbolique aux gens d'ici qui m'ont si mal accueillie autrefois.

    Par contre, dire que la sous-culture du rap a tendance à contribuer à l'actuelle tribalisation galopante du modèle libéral, ça me semble riche d'implications diverses et parfaitement approprié.

    "que l'interdit religieux de la représentation humaine doit être appliqué au Louvre? "

    Vous ne croyez pas si bien dire. Saviez-vous que le Louvre, que l'Etat Français n'a plus les moyens d'entretenir seul, a vendu une partie de son capital? Et que ce sont des fonds privés des Emirats Arabes Unis qui en ont racheté une grande part? Saviez-vouq aussi que certains professeurs de la Sorbonne s'étaient vu exiger de leur rectorat qu'ils aillent donner des cours en Arabie Saoudite pour satisfaire la demande de certains actionnaires? (Je tiens cela de source sûre : c'est un professeur de philosophie de la Sorbonne qui l'a révélé à ses élèves.) Eh oui, la Sorbonne aussi. ^^

    @ Tous : Ce qui vous défrise, c'est que ce que je dis est SIMPLE, paroxystiquement simple... C'est-à-dire que c'est la BASE, et qu'il faut être d'une excessive mauvaise foi pour chercher à me chicaner... Oui, j'aime à rappeler des évidences, dans la vie. Je trouve que s'il existe un certain nombre de notions DE BASE sur lequelles tout le monde est censé être d'accord, elles méritent précisément pour cette raison d'être de temps à autre rappelées.

    Oui, ce dont je parle, au lieu de diviser, devrait être fédérateur. Mais on peut toujours rêver.

    @ Amiral Potiron : Oh je suis vraiment désolée de susciter la polémique sur l'un de vos fil, c'est vrai, quelle offense! La prochaine fois que je voudrai commenter un texte littéraire il faudra que je fasse des alexandrins?

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  68. "Les deux exemples que j'ai donné sont réels"

    On veut bien vous croire, comme on dit, y a des cons partout

    "Et ça touchera toujours les pires classes, évidemment."

    Que faire ? Envoyer tout Normal Sup en zone sensible ? Limiter ces affectations aux seuls agrégés ?

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  69. Beboper ne te répondait pas infâme bécasse ! Si tu prenais le temps de lire les commentaires qui ne sont pas de toi, tu t'en serais probablement rendue compte. A moins que la bêtise soit chez toi considérablement plus avancée que ne laisse supposer ta piteuse prose.

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  70. "Oui, ce dont je parle, au lieu de diviser, devrait être fédérateur."

    C'est vrai que c'est SIMPLE. Vous me faite penser à ce boxeur mondain, vous savez, celui qui veut réconcilier le pays, où ce qui l'en reste, en usant de la manière forte.

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  71. "Que faire ? Envoyer tout Normal Sup en zone sensible ? Limiter ces affectations aux seuls agrégés ?"

    Dans l'état actuelle des barèmes de notation des profs, celui qui présente ça bien, en bon IUFM style ("séquence sur l'oralité" "le vers solitaire" ou que sais-je) sera félicité par sa hiérarchie.

    Alors que faire?
    Si il savait déjà qu'il risque gros en se livrant à ce genre de pitrerie... en ce moment, c'est l'inverse.

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  72. "Si il savait déjà qu'il risque gros en se livrant à ce genre de pitrerie... en ce moment, c'est l'inverse."

    On voudrait bien vous croire rien que sur parole, sauf que ça correspond pas aux dires des quelques copains après la visite de leurs inspecteur ou inspectrice. Disons, sans trop exagérer, que ça ressemblerait plus à la Brigade des affaires financières arrivant chez un vulgaire Trader suite à une affaire de délit d'initié.

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  73. @ Petcaca : "Beboper ne te répondait pas infâme bécasse !"

    Le commentaire de Beboper commençait par :

    "Ma chère Millie"

    En cela il m'était adressé

    On y lisait aussi :

    "en ce sens, je dis OUI aux Tumultueuses, qui ont le mérite de l'ouvrir"

    En cela contrairement au vôtre il était courtois et bien intentionné.

    ***

    Pour l'instant je dirais plutôt que c'est les types dans votre genre, qui font le gros des troupes ici, qui ne savent pas lire.

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  74. Moi j'ai des copains gnagnagna... Et tes copains faisaient étudier du rap?
    Tu me les brises avec tes certitudes par procuration. Oui, tu as raison, les inspecteurs d'académie ne font pas la promotion de la démagogie dégoulinante des "pédagogies actives"
    et je ne connais rien à ce sujet passke toi "t'as des copaing"... crétin.

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  75. Bon bein j"ai plus qu'à la fermer alors... ça m'apprendra ! De toute façon, je le savais qu'un jour je le payerais d'avoir discuté boulot avec des fainéants de première.

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  76. Oui K, c'est ce qui s'appelle de l'ironie. Mais bon, si on peut plus rigoler... Autant s'abonner à Flash-Mag !!!

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  77. ...certes.

    - Je m'apprêtais à sortir le bazooka à canon triple. -

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  78. Comme le calme semble revenu, je reprends.

    Le crétin que je suis n'a jamais dit que "les inspecteurs d'académie ne font pas la promotion (...) des "pédagogies actives"", bien au contraire, comme pouvait le laisser entendre ma comparaison avec la Brigade financière. Pour l'aspect dégoulinant de cette promotion, je serais moins affirmatif, vu que je connais pas.

    En bon imbécile, je ne vois pas non plus où j'aurais pu écrire ou laisser penser qu'ils enseignaient le Rap. Pour autant, je ne vois pas de problème en soi à l'utilisation de ce type de support. Si la chose se fait dans le rythme de la séquence, ça peut même s'avérer interessant. Exemple :

    http://www.youtube.com/watch?v=fmzo7qEtb18

    Sur ce, bon ap !

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  79. Le problème c'est ce que j'ai dit au début. Il y a peu d'heures de Français, entre le temps perdu pour la remise à niveau en règles orthographiques idiotes et en accords cabalistiques de participes, il ne reste pas beaucoup de temps pour l'essentiel, permettre aux mômes de rentrer en possession de leur héritage littéraire et de les former à la réflexion. Dans ce contexte, travailler sur des textes de rap, c'est encore perdre du temps (sans parler de cette démagogie purulente du prof qui veut faire le sympa et se fait plaisir à bon compte, flatte sa popularité en maintenant la tête de ses élèves dans la merde).

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  80. "c'est les types dans votre genre, qui font le gros des troupes ici, qui ne savent pas lire."

    Dis, tu veux pas nous les lâcher un peu, ou au moins arrêter de nous les briser ? Ca te va là, c'est suffisamment mec ou faut exagérer encore le trait ? Et après on s'étonne de ce que le chauve arrivait à faire son beurre rien qu'avec la guerre des sexes...

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  81. Vite fait, j'ai les crocs !

    Le problème, c'est qu'avec le tableau que vous nous brossez, c'est même pas la peine d'essayer quoique ce soit.

    Je vous laisse le mot de la fin.

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  82. SI, mais il faut savoir que tu seras mal noté par ton inspecteur, que ton évolution de salaire s'en ressentira.
    Il faut abandonner la "pédagogie active" et se concentrer sur la transmission et les exercices. En essayant d'élever les élèves à la littérature au lieu d'abaisser la littérature au niveau des élèves (pour paraphraser le plus ascétique des hédonistes).

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  83. Millie semble ne pas comprendre son éviction de fait du CGB : elle jalouse même Seulcontretous. La preuve : elle se livre à une odieuse attaque contre lui alors que le pauvre ne lui a jamais rien fait...

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  84. Comico el rigolo12 mai 2009 à 13:28

    Millie serait-elle un peu cracra?

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  85. @ K,

    On peut toujours rêver... Sauf que le plus froid des monstres froid a d'autres objectifs. Peu importe d'ailleurs que ce soit Jules ou Luc qui se retrouve aux commandes, ce qui compte avant tout, c'est d'emmener une classe d'âge où on veut qu'elle aille. Selon les époques cela donne: lui faire quitter les travaux des champs, la conduire au champ d'honneur ou l'amener au moins jusqu'au Bac-Pro.

    Comme vous le savez, les motivations des personnels enseignants ne recoupent pas forcément cette logique. Sans vouloir vous offenser, elles me paraissent même plutôt proches de vôtres. En tout cas pour ma part, je n'ai jamais vu de près ou de loin un seul de ces affreux ascètes hédonistes. Ni sur les bancs de l'école, ni en dehors... Et pourtant, j'en ai vu passer...

    Vous me direz que dans la pratique le résultat est loin d'être folichon. Et pour cause, ces gens là font ce qu'ils peuvent pour s'adapter aux programmes. Le reste, le jargon pédago par exemple, servant surtout de part et d'autre à masquer cet état de fait.

    Voyez, pas la peine de s'énerver !

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  86. Rien compris...
    "Ascète hédoniste" c'est un compliment.
    Pour faire court, le prof démago de Français, la connasse (ou le connard) qui veut que ses élèves "l'aiment" en particulier est au panthéon de mes détestations (c'est lui qui fera étudier du rap, du slam ou une quelconque merde sous-culturelle).
    Il est écrit noir sur blanc que les élèves doivent "apprendre à exprimer leurs sentiments, leurs émotions"... L'école transformée en antichambre de "psychologie magazine", avec des pétasses et des follasses qui se permettent "d'aimer" ou pas les drôles... Qui t'en parlent comme si elles avaient affaire à des adultes... Et les gamins de travailler...A se faire aimer...

    Cette école là doit périr, halte au sentimentalisme, à la dictature de l'émotion, des sentiments, de l'apprenant qui fait cours, des profs qui se passionnent pour la vie des gamins et leurs problèmes personnels...

    Retour à la transmission verticale du savoir. A la mise à distance de l'élève. Au vrai métier. Pas une espèce de maman/ assistante sociale/ séductrice/ sympa sans aucune autorité.

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  87. K, vous êtes toujours d'un optimisme détonant.

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  88. Désolé, j'avais cru que vous nous construisiez une sorte de golem issu de la rencontre entre un Onfray mal digéré et une vulgate néo-bourdieusienne. Tout le monde peut se tromper...

    Pour le reste, je maintiens:

    1) que ce retour auquel vous rêvez relève de l'image d'Epinal.
    2) que votre idéal-type de pétasses et autres follasses est difficilement observable dans la réalité. Pour peu évidement qu'on prenne le temps de l'observer.

    Je pense par ailleurs que vous placez la barre bien haut. Il s'agit moins d'essayer de ré-enchanter ce qui ne l'a jamais été, que de faire en sorte que l'élève parvienne à trouver son chemin et une intelligence propre à déjouer les pièges qu'on lui tend (je vous laisse en établir la liste). Il me semble encore, qu'il n'y a pas qu'une méthode pour y parvenir.

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  89. Ecoute, je continuerais bien la discussion, mais je préfère t'envoyer te faire foutre... Tu ne veux pas entendre ce que j'ai à dire sur la question? Tu me parles de "lecture mal digérée" du haut de ta grandeur en jouant au pédago avec moi tête de pue? Alors que tu aurais à l'instant même compris à quoi je faisais référence si tu avais réussi à digérer quoi que se soit de ton coté grosse bouffisure à roulettes... Tu me parles de fantasmes?
    Je parle d'expérience et... je t'emmerde.

    OKAY?!?
    ... je me barre au Canada, ras le bol de ce pays de cons!

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  90. Non K, c'est vous qui extrapolez. C'est le Golem qui aurait mal digéré pas vous.

    Pour le reste, j'arrête aussi. C'est que j'ai des trucs à faire. M!occuper des petits, tout ça.

    Sinon, d'accord avec vous: l'expérience subjective... Y a que ça de vrai.

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  91. "l'expérience subjective"... Non, non, tout ce qu'il y a de plus objectif, même si ça t'emmerde.

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  92. Bon si vous voulez ! Disons que sur le fond on est d'accord et réciproquement.

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  93. "Millie semble ne pas comprendre son éviction de fait du CGB"

    Si vous continuez à être si cons, je recommence à publier des articles au CGB uniquement pour vous mettre votre museau dans votre merde, réfléchissez-y à deux fois avant de m'insulter à nouveau.

    "elle jalouse Seulcontretous"
    "Mimi cracra"

    Nuance : je plonge le nez des gens comme vous dans leur merde mais je ne m'abaisse pas à votre niveau pour le faire, je ne me salis donc pas.


    Là-dessus, ciao.

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  94. Millie casse-toi, merci.12 mai 2009 à 17:23

    Dites moi les modos vous faites une différence entre les insultes de Monster et l'arrogance de Millie ?

    Le pire c'est qu'elle se prend vraiment au sérieux.

    Pas de 2 poids 2 mesures. Virez-la.

    Merci.

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  95. Je préfère de loin la vanité de Millie que les "Fils de pute", " sale pd" de monster. Je ne vois pas pourquoi, il y aurait un deux poids deux mesures à tes yeux. Pour l'instant, elle reste respectueuse.

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  96. Millie casse-toi, merci.12 mai 2009 à 17:37

    Je préfère mille fois un les "sal pd" (d'autant plus qu'il ne disait pas que ça) de Monster aux pavés narcissiques, suffisants et arrogants de Millie.


    "Nuance : je plonge le nez des gens comme vous dans leur merde mais je ne m'abaisse pas à votre niveau pour le faire, je ne me salis donc pas."

    "Si vous continuez à être si cons"

    Une leçon de respect en effet.

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  97. Si on devez censurer selon tes critères, 90 % des commentaires passeraient à la trappe. Je suis d'accord pour dire que les commentaires de Millie sont narcissiques et arroguants, mais ceux de Monster étaient du m^me calibre, narcissique et arrogant et en plus d'une grande inculture (sur ce point, Millie est différente). Je censure en fonction des insultes les plus crasses : Sale pd, sale arabe, sale juif, fils de pute, etc...
    En tout cas, je n'ai jamais censuré personne par idéologie, parce qu'il était sioniste ou antisioniste.
    Monster, on l'a laissé faire pendant deux mois jusqu'à activer la modération pour cause de spams à base de CTRL+V sur un grand nombre d'articles.

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  98. @ Paracelse : Evidemment censurer les gens et les juger en fonction de la valeur de leurs arguments, c'est pas votre genre. C'est discriminatoire à l'égard de la bêtise, je comprends.

    ***

    J'ai pas toujours été arrogante (certains le savent), et je ne le suis absolument jamais en dehors d'ici (certainement pas sur Ilys ni sur mon blog par exemple). Mais vous savez, vous parler comme à des chiens c'est le seul moyen que vous m'avez laissé pour vous tenir un peu en respect. Chaque fois que j'ai essayé d'être gentille ici, que j'ai tenté de me justifier, d'expliquer posément à mes interlocuteurs ce qu'ils ne comprenaient pas, on s'est moqué de moi, on m'a insultée encore plus méchamment. Quand j'ai été gentille, que j'ai fait un peu de spectacle pour vous plaire, on m'a prise pour une pute. J'ai tout entendu, du suce-moi la bite au plus trash. Quand je dis du lectorat du CGB que ce sont des primaires, le pire c'est que c'est même pas une insulte, c'est la triste vérité...

    Je ne suis évidemmment pas ce que je vous montre, mais face aux gens comme vous je n'ai pas d'autre arme que celle que vous me laissez : votre complexe d'infériorité. Je tape là où ça fait mal, parce que vous, vous ne vous gênez pas.

    Enfin je suis narcissique... oui. Je suis seule dans mon propre camp et il faudrait encore que je le débine? Ben non. Je vous ferai pas cette joie de m'excuser pour ce que je suis. Vous me voulez du mal, indépendamment de mon attitude, alors je resterai la dernière personne à tenir à ma peau.

    ***

    Je vous connais les gars, je sais que vous profiteriez de la moindre gentillesse de ma part pour prendre votre revanche sur la vie à travers moi.

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  99. Des gens grossiers, crasseux, vulgaires parmi nos commentateurs?
    A part Yann Barthes, je ne vois pas...

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  100. " Je ne suis évidemmment pas ce que je vous montre, mais face aux gens comme vous je n'ai pas d'autre arme que celle que vous me laissez : votre complexe d'infériorité. Je tape là où ça fait mal, parce que vous, vous ne vous gênez pas. "

    Complexe d'infériorité ? Où as-tu vu que l'on se dénigrait ? J'espère que pour toi, quelqu'un qui ne se vante point au premier degré n'est pas considéré comme une personne souffrant d'un complexe d'infériorité.

    " Je vous connais les gars, je sais que vous profiteriez de la moindre gentillesse de ma part pour prendre votre revanche sur la vie à travers moi. "

    Ah mais pour moi, tout va au poil. Pas besoin d'un sentiment de revanche sur la vie en te choississant toi, oui toi, toi exclusivement, pour me soulager.

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  101. Pour te soulager?
    Et ça marche?
    Tu veux un kleenex?

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  102. Ce qu'a dit Jacques Desiderata n'est pas dénué d'intérêt. J'irais même jusqu'à dire que c'est très juste. Dommage qu'on n'ait pas remarqué son com plus tôt, ça aurait peut-être orienté le fil différemment...
    Quant au fond "réac" de mon article, je n'y avait pas pensé... Si on est réac parce qu'on regrette le temps où les nanas pouvait se permettre de bien innocentes libertés, ça va être dur d'être autre chose que réac, non?
    Et je tiens à dire publiquement ici que ma nostalgie est tout ce que vous voulez, mais pas PSEUDO !

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  103. laisse, encore un qui veut jouer au dur...

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  104. Voila comment on termine sa course à force de s’écouter parler ma chère Millie.

    http://www.youtube.com/watch?v=WF8QK_zP4K4

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  105. Photo et post représentatif de M... envoyés à M. Cantat. Ça ne devrait pas tarder à tomber. Patience messieurs.

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  106. " Photo et post représentatif de M... envoyés à M. Cantat. Ça ne devrait pas tarder à tomber. Patience messieurs. "

    Beth... voyons. :)

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  107. Beth, vous vous êtes la pire. Vraiment la pire. Si vous disposiez des moyens de faire en sorte qu'il m'arrive une vraie crasse par exemple, je pense que vous en useriez.

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  108. Penser que je me préoccupe de vous à ce point est d'une arrogance comique. Vous m'indifférez globalement, et sporadiquement, vous stimulez mon cerveau reptilien et j'ai alors envie de coller une fessée magistrale à la sale gamine tonitruante que vous êtes. Vous ne méritez rien de plus de ma part. Quant aux crasses, vous vous les attirez très bien toute seule.

    Sinon, perdriez-vous votre légendaire sens de l'humour autoproclamé ?

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  109. Mais oui mais oui ma grande...

    Nous savons ce que nous savons.

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  110. Cet air entendu vous va à ravir mon chou.

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  111. Millie, mai 2009 : "Nous savons ce que nous savons"

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  112. "Nous savons ce que nous savons"

    Fight club, le retour !

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  113. Bon, je vous rappelle que le CGB n'a pas pour vocation à être un blog anti-Millie et que l'article de Beboper porte sur la forme des nichons des années 80.

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  114. pour aiguisez vos arguments:

    http://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20070920112708AA8jGgY

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  115. C'est vrai ça!
    (Enfin, si jamais vous voulez vous battre les filles... En hommage à l'article Bebop, c'est seins nues, au bord de la piscine -là où il y a de la boue-)

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  116. Nan, ça va. Ma maman m'a appris à ne pas jouer avec la nourriture.

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  117. "mais qu'on aime bien sans soutient gorges"

    Allez, tous ensemble, tous ensemble !

    http://www.youtube.com/watch?v=lM4a1vNlF8c

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  118. Paracelse a dit :
    « Bon, je vous rappelle que le CGB n’a pas pour vocation à être un blog anti-Millie »

    Par contre Millie a pour vocation de booster les commentaires du CGB.

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  119. " Par contre Millie a pour vocation de booster les commentaires du CGB. "

    Exact ! On a tous nos idiots utiles.

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  120. Moi j'en ma claque d'Emilie Jolie. Allez plein pot:

    Dans un voyage en absurdie
    que je fais lorsque je m'enuis
    j'ai réalisé sans complexes
    qu'un matin je changerais de sexe
    que je vivrais l'étrange drame
    d'être une femme

    Femmes des années 80
    mais femmes jusqu'au bout des seins
    ayant réussis l'amalgame
    de l'autorité et du charme
    femme des années 80
    moins Colombine qu'Arlequin
    sachant pianoter sur la game
    qui va du grand sourire aux larmes
    attraper des géants Galois sexy comme autrefois les stars
    etre un général d'afronterie
    rouler des aptins aux conscris

    enceinte jusqu'au fond des yeux
    qu'on a envie d'appeler monsieur
    etre un flic ou pompier de service
    et donner le seins à mon fils

    REFRAIN
    femme, etre une femme

    Femme sinéaste écrivain
    à la fois poète et manequin
    femme pantère sous sa police
    et femme banquière planquée en Suisse
    femme dévoreuse de minets
    femme directeur de cabinet
    à la fois sensuelle et pudique
    et femme chirurgien esthétique
    une maitresse méssaline et contre maitresse à l'usine
    faire le matin les abattoirs
    et dans la soirée le trottoir
    femme des gardiens de la paix
    chauffeur de gare, agent secret
    femme général d'aviation
    rouler des gamelles aux planctons

    REFRAIN

    Etre un agent de promotion
    parler six langues
    ceinture marron
    championne du monde des culturistes
    et aimer Sissi impératrice
    enceinte jusqu'au fond des yeux
    qu'on a envie d'appeler monsieur
    en robe du soir
    à talon plats
    qu'on voudrait bien appeler papa
    femme pilote de longs couriers
    mais femme à la tour controlée
    calomniée jusqu'aux porte jaretelles et aux stewart rouler des pelles
    maitriser à fond le système
    accéder aux pouvoir suprèmes s'installer à la présidence et de la ferme border la France

    REFRAIN

    Femme des gardiennes de prison
    chanteuse d'orchestre et francmaçonune une stripteaseuse à temps perdu
    emerdeuse comme on n'en fait plus
    femme conducteur d'autobus
    fortené allemand de vaucluse
    qu'on a envie d'appeler Georges mais qu'on aime bien sans soutient gorges

    REFRAIN
    femmes des années 80
    mais femmes jusqu'u bout es seins
    ayant réussi l'amalgame de l'autorité et du charme

    femmes des années 80
    moins Colombine qu'Arlequin
    sachant pianoter sur ma game
    qui va du grand souire aux larmes

    Attraper des Geants Valois
    sexy comme autrefois les stars
    etre un général d'afronterie
    rouler des patins aux conscris
    femme sinéastes écrivain
    à la fois poète et manequin
    femme pantère sous sa police et femme banquière planquée en Suisse
    femme dévoreuse de minets
    femme directeur de cabinet
    à la fois sensuelle et pudique
    et femme chirurgien esthétique
    etre un agent de promotion
    parler six langues ceinture marron
    championne du monde des culturistes aimer Sissi impératrice
    femme des gardiens de la paix
    chauffeur de gare agent secret
    femme général d'aviation
    rouler des gamelles aux planctons
    femme pilote de longs couriers
    amis femmes à la tour controlée$calomniée jusqu'aux porte jaretelles
    et aux stewart rouler des pelles
    maitriser à fond le système
    accéder aux pouvoirs suprèmes
    s'instaler à la présidence.........

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  121. "Un visionnaire ce Michel !"

    extrait de " Aux sources de mon combat" de Laurence P.
    Editions Ceux Qui En Ont - samizdat-

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  122. Quel est l'ostrogot sourdingue et dyslexique qui a retranscrit ce texte?

    "femme pantère sous sa police "

    "chauffeur de gare,"

    "calomniée jusqu'aux porte jaretelles"

    "fortené allemand de vaucluse"

    "rouler des gamelles aux planctons" (belle celle là)

    etc..

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  123. Personnellement, j'ai une préférence pour "Femme panthère sous sa police"

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