31 janvier 2008

Un royaume en danger

« L’immigration est une richesse pour la France »
« L’Union Européenne est une chance pour la France »

Deux mensonges répétés à l’envi depuis plus de vingt ans. La vérité est que l’immigration est plutôt une richesse pour la bourgeoisie capitaliste et que l’UE est plutôt une chance pour les oligarchies financières transnationales d’asseoir leur domination sur les peuples européens et de pouvoir ainsi s’emparer du bien commun de ces mêmes peuples. Or, il est possible de prospérer en refusant une immigration massive et en refusant la dépendance vis-à-vis de l’UE. On pourrait même dire qu’il est impératif qu'elle se défasse de ces deux mythes contemporains, fictions ressassées à longueur de propagande médiatique, si la France ne veut tout simplement pas finir « à l’américaine » dans la pauvreté et la violence. Il est un pays européen qui a bien compris cela et qui protège ses richesses, son bien commun contre les pillards européistes et les chacals venus d’outre-atlantique : ce pays c’est la Norvège*.
Ce pays veut tout simplement que son peuple puisse profiter des richesses qui lui appartiennent** et que son mode de vie ne soit pas bouleversé par des barbares vulgaires et sans âme. Elle n’est donc pas dans l’UE et accepte une immigration très réduite. Elle se méfie de la propagande multiculturaliste façon Benetton qui incite les peuples à plus d’ouverture. Elle sait que cela revient à leur demander de se mettre à découvert, la poitrine offerte aux balles des pillards susmentionnés qui sont précisément ceux qui promeuvent le métissage et l’ouverture mais qui, depuis leurs bunkers électroniquement surveillés, ne feront qu’en tirer parti sans en subir les graves inconvénients.
Comment blâmer un pays qui veut préserver un équilibre patiemment construit, équilibre basé sur la cohérence culturelle de son peuple, sur une raisonnable hiérarchie des richesses et sur l’absence d’écarts scandaleux et absurdes. Comment ne pas comprendre les motivations d’un pays qui ne veut pas sacrifier son service public pour engraisser quelques sectes européistes et quelques gros actionnaires apatrides.
Mais les pillards sans foi ni loi ne veulent rien entendre, toujours prêts qu’ils sont à dévorer tout ce qui se présente à leur avidité. Ainsi, en Norvège, l’ennemi est désormais à l’intérieur. La méthode des colonisateurs est un peu similaire à celle qu’ils employaient lorsqu’ils convoitaient les richesses ou le territoire de quelque peuplade isolée et qu’ils ne jugeaient pas opportun de recourir à la force pour cela : cette méthode c’est la corruption. Mettre le ver dans le fruit. Convertir la peuplade en question (ou du moins une partie d’entre elle) au maniement de l’argent et à son culte, à l’échange marchand hégémonique ; lui faire par exemple abandonner son économie basée sur le troc ou le don et rallier la communauté au catéchisme et au mode de vie du colon. Méthode qu’on pourrait aussi appeler la « stratégie du kapo ». Et on sait évidemment le sort réservé à ceux qui veulent résister à cette domination…

L'avant-garde de la résistance norvégienne



La corruption est donc déjà à l’œuvre en Norvège. Le consumérisme pulsionnel la guette. La sauvagerie est dans la place. Le ver c’est le luxe et le gadget (le luxe du pauvre). Il a suffit qu’elle autorise des « marchands de mort subite » à installer leurs « grandes enseignes » chez eux pour que la vigilance se relâche et que de plus en plus de se prennent au jeu de l’hédonisme irrationnel, de l’accumulation absurde et de l’ostentation indécente. Nombreux sont ceux qui cèdent peu à peu à une avidité exponentielle, à un désir toujours plus grand d’en avoir toujours plus que son voisin. La fameuse maîtrise de l’infrastructure. Le mode de consommation qui conditionne le mode de pensée (la superstructure – le genre de vie) qui lui-même alimente le mode de consommation. L’idéologie s’auto-promeut car elle est dans l’objet du désir qui définit lui-même le désir, c’est sa grande force. Des années de propagande venue d’où on sait et qui finissent par payer. Et rien d’étonnant à ce que l’avant-garde de cette « révolution » soit les Norvégiennes en mal d’émancipation, c’est-à-dire en l’occurrence en mal de shopping. « Les magasins étaient tristes à pleurer » déclare la présidente de la Chambre de commerce et d’industrie***. Comment a-t-on privé aussi longtemps les norvégiennes d’un tel raffinement et d’une telle richesse pour l’existence ? Alors les kapos tout droit sortis des universités américaines ouvrent grand les portes. Les pillards peuvent entrer librement.

Les ligues de jeunesse assurent la relève

Evidemment tous ces refourgueurs de camelote vont avoir besoin de petites mains peu coûteuses et corvéables pour justement la refourguer cette camelote. Si les norvégiens ne font pas l’affaire, on peut être sûr qu’ils trouveront à l’étranger des candidats pour le poste. L’importation d’allogènes a de toute façon commencé au moment même où les Zara, Vuitton, H&M et Décathlon ont posé le pied sur la terre viking****.

activiste norvégien aux prises avec la police de l'UE

A nouvelle économie, nouveaux comportements, nouvelles vertus : individualisme, insatisfaction permanente, appât du gain, indifférence envers le lien social, abêtissement. Et pour amplifier le processus, ces « vertus » occuperont petit à petit tout le champ culturel. Effet de miroir qui refermera le piège sur ce peuple de protestants dont le caractère raisonnable et les visées égalitaristes auront probablement du mal à supporter le choc à moins bien sûr que le viking qui sommeille en eux ne se réveille pour reprendre le contrôle du drakkar.

La pieuvre, ennemi de l'intérieur :



* Avec 4 600 000 habitants pour 385 199 km², dont 307 860 km² de terre, la Norvège est après l'Islande le pays le moins densément peuplé d'Europe. C'est aussi un des pays les plus riches du monde, grâce à une importante production pétrolière notamment. C'est aussi un des États dont la politique sociale est la plus généreuse. (Wikipédia)

** Et si on n’a pas de pétrole comme en ont les Norvégiens, l’adage bien connu recommande d’avoir des idées et des bonnes, qualité française malheureusement en voie de raréfaction.
*** Norvège : dur d’être riche (Nouvel Observateur, 2-8 nov 2006)
**** En 1975, la Norvège a adopté une disposition officielle interdisant l’immigration, disposition qui reste en vigueur aujourd’hui mais qui se voit petit à petit assouplie.


Clip de propagande de la résistance :




lire l’article du Nouvel Obs ainsi qu’un article du site fn-pop-et-soc :

Norvège

10 commentaires:

  1. toi t'as dû* souffrir à l'école, non ?

    * : note le petit chapeau distingué, rien que pour toi ma louloute !

    RépondreSupprimer
  2. ahah !
    excellent le coup de l'annotation !

    RépondreSupprimer
  3. Je comprends pas les commentaires. Je vois pas bien en quoi cette histoire d'école et d'annotation a à voir avec le post.

    RépondreSupprimer
  4. Ah ça y est j'ai compris ! C'est censé être drôle non ? C'est ça ?

    RépondreSupprimer
  5. et tes posts, ils sont censés être quoi ? Intelligents ?

    RépondreSupprimer
  6. Et ta bite? Elle est censée être grosse?

    RépondreSupprimer
  7. Cons ou intelligents, maladroits ou pas, mes posts sont d'abord censés m'aider à structurer mes idées. S'ils peuvent avoir la même fonction pour d'autres, c'est très bien. Pour ma part, la lecture des posts d'autres personnes a cette fonction : faire en sorte de me faire réfléchir, m'interroger sur les raisons pour lesquelles je suis d'accord ou pas, savoir pourquoi je trouve tel post brillant et tel autre débile. Ca peut être intéressant de réfléchir vous savez !
    A la différence de vous, je suis conscient d'avoir encore beaucoup de boulot pour parvenir à une réflexion claire, pertinente et sûre alors j'essaie d'y remédier avec des écrits surement très loins d'être brillants mais qui vont au moins au-delà de réactions pulsionnelles dignes de potaches débiles et qui lorsqu'ils sont motivés par la colère ou par la consternation tentent de verser dans l'invective ou l'imprécation plutôt que dans l'insulte de cour de récré. Rien de tel que l'écrit pour structurer ce qu'il y a sous le crâne, je vous le conseille vivement messieurs. D'ailleurs on peut envisager de publier vos réflexions sur le CGB si vous le désirez et si bien sûr à défaut d'être subtiles et intelligentes, elles sont au minimum un peu plus drôle que les commentaires que vous venez de laisser.
    Sinon ma bite fait ce qu'elle est censée faire et visiblement elle le fait bien.
    Voilà messieurs, j'espère avoir levé les interrogations pressantes qui vous taraudaient.
    Au plair de vous lire.

    RépondreSupprimer
  8. bouuuuh il est colère !

    et ta meuf elle est plutôt maurassienne ou clitoridienne ?

    RépondreSupprimer
  9. pourquoi mets-tu meuf au singulier ?

    RépondreSupprimer
  10. parce que tu n'as qu'une seule mère ?

    RépondreSupprimer