27 janvier 2008

Rendez-vous avec Mr SODO

Revu et Corrige du Samedi 26 janvier 2008 dont le thème était consacré au min Krach : vraie menace pour l’économie ?
Où l’on apprend que Jean Claude Delarue Secrétaire Général de l’association “SOS Petits Porteurs” va rencontrer Mr Sodo conseiller de Mme Christine Lagarde.



Alleluia ! Chers amis petits actionnaires de la Société Générale, votre sort est désormais entre les mains de M. Sodo et de ses fidèles collaborateurs : son dynamique adjoint M. Sansvaseline et sa vigoureuse secrétaire Melle Bienprofond.
Rapide récapitulatif : Jean Luc Sodo, promotion 69 de l’ENA, était entré à ‘Elysée sous le mandat de Jacques Chirac pour s’occuper de la fameuse « Fracture Sociale » avec le succès que l’on connaît ... En mai 2007, Nicolas Sarkozy, qui a tout de suite vu en lui un collaborateur efficace et dévoué, l’a gardé dans son équipe et lui a demandé de mettre en place les réformes promises au moment de la campagne présidentielle : pouvoir d’achat, retraite, ou 35 h.

Jean Luc Sodo va vous faire aimer le goût des réformes en profondeur !

2 commentaires:

  1. Seuls 5 % des intervenants en bourse gagne à long terme. Ils ont besoin régulièrement de chair fraîche, à qui on fera miroiter toutes les conneries monumentales sur la stabilité des marchés financiers. Voilà la raison pour laquelle ils sont mal conseillés.
    Actuellement, depuis les premiers soubresauts à la baisse des bourses (aout 2007), le marché de l'or grimpe à une vitesse prodigieuse comparable aux valeurs technologiques pendant la période dernier trimestre 99 et premier trimestre 2000. Ce qui veut dire que les spéculateurs avisés se retirent petit à petit des Bourses, anticipant le marasme boursier des mois à venir et entretenant la propagande que ce n’est pas si grave.

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  2. Cela me fait penser à une remarque de Soljenitsyne, dans 'L'archipel du Goulag', qui citait des noms de grands flics du NKVD, noms qui, en Russe, voulaient dire "écorcheur", "assassin", "tueur de petites vieilles", etc. ... et qui, donc, Soljenitsyne, se demandait dans quelle mesure ces gens-là n'avaient pas été choisis pour faire leur métier à cause précisément de leur patronyme prédestiné.

    Là, franchement, on peut se poser la question.

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